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mardi, octobre 24, 2017

576_ Virée en Algérie: Oran, Alger... Salon du livre etc. 1_

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Et l’airbus A 319 atterrit à 18h30, heure locale, sur le tarmac de l’ « International airport Ahmed Ben Bella » à Oran. La température est élevée pour un mois d’octobre. Deux autobus attendent. Aussitôt remplis comme des œufs. Nous voilà donc au Bled.




Jeux d'ombres avec la statue de la Liberté. Place du 1° novembre 54






Ah Oran, Oran… toujours rebelle, toujours attachante. Et bruyante. « Oran ne changera pas. Elle fut, elle est, elle sera bruyante. Prenons les avertisseurs sonores, ils règnent sur toute la ville et sur tous les bruits. Pour un oui ou pour un non, pour un mot ou pour un autre ils couinent. Quel que soit le motif, ils sont atrocement sollicités. Quoi de plus simple que de klaxonner pour dire bonjour à un piéton, pour l’admonester, lui demander son chemin, l’avertir d’un danger ? Les piétons respectent et protègent les trottoirs au-delà de la mesure. Ils en prennent soin à telle enseigne qu’ils sollicitent beaucoup plus la chaussée que ceux-là. Il y a plus de personnes qui déambulent sur la route que sur les trottoirs. Sans parler de toutes ces ombres peu pressées et qui, dans un flot continue, traversent comme il se doit sur les clous ou les bandes. Il est vrai que les trottoirs sont trop étroits et souvent maltraités par les employés de l’état. Les agents du gaz sont les premiers à les martyriser. Les employés de l’électricité et ceux de l’eau font aussi bien. A longueur d’année tout ce beau monde creuse (tour à tour) des tranchées ; gueules béantes le jour comme la nuit. De temps à autre on y pêche un passant qui a oublié de regarder où il se devait. Le bruit mon Dieu – au-delà des klaxons – la cacophonie et les vociférations ! Le manège se met en branle dès l’aube. Six jours sur sept. » (in : « L’Amer Jasmin de Fès)
Chez Largo
Je n’irai pas cette fois Chez Largo chez Largo à Saint-Eugène goûter ses bebbouches petits gris, superbement assaisonnés aux fines herbes, poivre, sel, cumin…

Et Alger ? C’est kif-kif au carré. Je vous en dirai plus demain et les jours suivants. 




Café Le Repère- sur les hauteurs de la Casbah
J’ai hâte de retrouver Le Repère, café cool, haut perché dans la Casbah (image), il y a deux ans nous y avions fait de belles lectures.

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