Hier samedi, je suis allé voir avec C. le légendaire Omar Gatlato, un film mémorable des années de la dictature boumediéniste. Il fut un tremblement de terre à l'époque du silence et de tous les interdits démocratiques. Et une surprise qui fit couler beaucoup de salive!
Merci à AFLAM (Les films)
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Cinéma(s) d’Algérie
Dossier de Presse Cinéma(s) d’Algérie
Programme complet-Cinéma(s) d’Algerie
Après « Cinéma(s) » de Tunisie, du Maroc, de Syrie, de Palestine, Aflam s’intéresse cette année au cinéma algérien et à son histoire, avec une quarantaine de films qui seront présentés à Marseille et dans 8 villes de la Région. Différentes structures culturelles et associatives ont décidé d’accompagner notre initiative en programmant des films, ou bien, en mettant en valeur d’autres expressions de la culture algérienne, théâtre, littérature, photographie…Du 5 novembre au 6 décembre, la culture algérienne sera ainsi à l’honneur à Marseille et dans la Région Provence Alpes Côte d ‘Azur.
Le cinéma algérien est né en 1958 dans les maquis, puis il s’est développé très vite avec la création d’infrastructures d’Etat soutenant la production et aussi la diffusion. Une première vague de films s’attache à partir de 1964 à décrire le colonialisme, le mouvement de libération nationale et ses héros. Puis, dans les années 1970, la guerre laisse la place aux préoccupations sociales : la question des femmes, la condition paysanne, un peu plus tard, la vie citadine et ce qu’elle révèle des difficultés de la société algérienne en construction. Les années 1970 seront les années fastes du cinéma algérien, et les salles obscures du pays sont alors largement fréquentées par la population. A partir des années 1980 apparaît une nouvelle génération de réalisateurs algériens, celle des cinéastes tournant aussi en France sur le thème de l’émigration. En Algérie, les violences qui vont affecter le pays durant les années 1990 entraînent la chute de la production cinématographique et la disparition de la presque totalité des salles. Aujourd’hui des réalisateurs plus jeunes, en Algérie ou en France, prennent le relais avec beaucoup de créativité et de dynamisme. Nous avons tenté de représenter cette filmographie dans son histoire et sa diversité.
in: http://www.aflam.fr/spip.php?rubrique45
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Omar Gatlato
de Merzak Allouache
Algérie, 1976, 1h30mn, couleur.
Avec Avec Boualem Bennani, Aziz Degga, Farida Guenaneche,, Abdelkader Chaou
Omar, petit fonctionnaire et "titi" algérois, passionné de musique populaire chaabi et de films indiens, passe ses heures de loisirs avec les copains. Comme eux tous, il rêve à la femme idéale qu’il mythifie à défaut d’approcher les femmes dans la réalité. Un jour, on lui offre une cassette prétendument vierge mais qui a, en fait, enregistré les confidences d’une jeune femme…
Scénario : Merzak Allouache
Image : Smaïl Lakhdar Hamina
Montage : Moufida Tlatli
Musique : Ahmed Mallek
Production : ONCIC (Office National pour le Commerce et l’Industrie Cinématographique) Algérie
avec: Boualem Bennani, Aziz Degga, Farida Guenanèche, Abdelkader Chaou
Merci à AFLAM (Les films)
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Cinéma(s) d’Algérie
Dossier de Presse Cinéma(s) d’Algérie
Programme complet-Cinéma(s) d’Algerie
Après « Cinéma(s) » de Tunisie, du Maroc, de Syrie, de Palestine, Aflam s’intéresse cette année au cinéma algérien et à son histoire, avec une quarantaine de films qui seront présentés à Marseille et dans 8 villes de la Région. Différentes structures culturelles et associatives ont décidé d’accompagner notre initiative en programmant des films, ou bien, en mettant en valeur d’autres expressions de la culture algérienne, théâtre, littérature, photographie…Du 5 novembre au 6 décembre, la culture algérienne sera ainsi à l’honneur à Marseille et dans la Région Provence Alpes Côte d ‘Azur.
Le cinéma algérien est né en 1958 dans les maquis, puis il s’est développé très vite avec la création d’infrastructures d’Etat soutenant la production et aussi la diffusion. Une première vague de films s’attache à partir de 1964 à décrire le colonialisme, le mouvement de libération nationale et ses héros. Puis, dans les années 1970, la guerre laisse la place aux préoccupations sociales : la question des femmes, la condition paysanne, un peu plus tard, la vie citadine et ce qu’elle révèle des difficultés de la société algérienne en construction. Les années 1970 seront les années fastes du cinéma algérien, et les salles obscures du pays sont alors largement fréquentées par la population. A partir des années 1980 apparaît une nouvelle génération de réalisateurs algériens, celle des cinéastes tournant aussi en France sur le thème de l’émigration. En Algérie, les violences qui vont affecter le pays durant les années 1990 entraînent la chute de la production cinématographique et la disparition de la presque totalité des salles. Aujourd’hui des réalisateurs plus jeunes, en Algérie ou en France, prennent le relais avec beaucoup de créativité et de dynamisme. Nous avons tenté de représenter cette filmographie dans son histoire et sa diversité.
in: http://www.aflam.fr/spip.php?rubrique45
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Omar Gatlato
de Merzak Allouache
Algérie, 1976, 1h30mn, couleur.
Avec Avec Boualem Bennani, Aziz Degga, Farida Guenaneche,, Abdelkader Chaou
Omar, petit fonctionnaire et "titi" algérois, passionné de musique populaire chaabi et de films indiens, passe ses heures de loisirs avec les copains. Comme eux tous, il rêve à la femme idéale qu’il mythifie à défaut d’approcher les femmes dans la réalité. Un jour, on lui offre une cassette prétendument vierge mais qui a, en fait, enregistré les confidences d’une jeune femme…
Scénario : Merzak Allouache
Image : Smaïl Lakhdar Hamina
Montage : Moufida Tlatli
Musique : Ahmed Mallek
Production : ONCIC (Office National pour le Commerce et l’Industrie Cinématographique) Algérie
avec: Boualem Bennani, Aziz Degga, Farida Guenanèche, Abdelkader Chaou
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CE QUI SUIT a été ajouté le mercredi 02 décembre 2009:
Mardi, cinéma Les Variétés, rue Scotto, angle de la Cannebière. Nous sommes mardi 01 décembre, il est 17h30. J’ai pris un ticket (5.50 €) pour assister au film Harraga de Merzak Allouache. Dans le hall du cinéma nous sommes une petite trentaine qui patiente soit autour d’un verre de rouge ou de blanc ou… devant le sympathique comptoir en forme de U soit dans la grande salle. Dans un coin il y a une table sur laquelle on a posé des publicités pour « Cinéma (s) d’Algérie. Un membre de l’assoc. prend les coordonnées de ceux qui veulent bien les donner pour recevoir des informations de l’association. Il accueille aussi ceux qui souhaitent y adhérer. L’entrée de la salle1 est ouverte à 17h50. C’est une grande salle d’environ 230 places. Nous sommes un peu moins de 40 personnes. Il est 18h et la salle est toujours allumée, ça ne chuchote même pas. Un journaliste filme les présents. Il y a maintenant beaucoup de monde : 150 au bas mot. A 18h20 rentre un groupe de 7 personnes : Michel Perso, le représentant de Aflam (l’association organisatrice) qui présente la manifestation, Solange Polet, Mouloud Mimoun critique de cinéma, et deux comédiens, Samir el Hakim, Abdallah Benahmed et Merzak Allouache qui ne prend pas la parole. Nous passons au film, Harraga
Applaudissement à la fin du film, il est vrai bien réussi. La parole est donnée à Allouèche qui explique pourquoi il a choisi Mostaganem. Mostaganem et Annaba sont les deux lieux les plus importants d’où partent les « Brûleurs ». Mosta (Oran) car très proche de l’Espagne et Annaba très proche de l’Italie. C’était plus dur de filmer à Annaba car « il y a une grande violence autour des Harraga. La maffia italienne a fait fusion avec les maffieux de Annaba, elle prépare les barques qu’elle leur revend ». Il ajoute : « dans mon film j’adresse deux messages. Le premier pour interpeler les officiels algériens… Il y a 600 Algériens dans les morgues espagnoles, c’est inadmissible. Le deuxième message je l’adresse aux Européens, qui se contentent de traiter le sujet en utilisant une comptabilité macabre. »
Suivent les questions du public. Merzak Allouache me reprend, il me répond « pour moi il n’y a pas eu de dictature en Algérie dans les années 70 » A une autre spectatrice (qui dit avoir été cinéaste en Algérie il y a longtemps) et qui regrette que les cinéastes algériens ne dénoncent pas la maffia politico-militaire il lui répond d’un air condescendant, hautain même « faites vous-mêmes des films et dénoncez ».
A propos de ses débuts, en faisant son premier film en 1975, autour du malaise des jeunes, « je ne pensais pas dit-il que 30 ans plus tard je ferais un autre film sur la détresse des jeunes. Je pensais que l’Algérie, qui est un pays riche allait se redresser. » Harraga ajoute-t-il est « un film témoignage ». Il ne se « mouille » pas plus…
Je reconnais un des acteurs (Samir el Hakim, le flic assassin). Je l’ai vu à Valence jouer au théâtre. Superbe. Je le lui dis à l’extérieur, je veux dire lors du buffet gratuit offert dans la grande salle près du bar (couscous et boissons à volonté). Il me dit qu’il rejoue la pièce (Bleu blanc vert de Maïssa BEY au début février à Aix. (Voir mon post ici, n° 146 du 20 mai 2009)
Applaudissement à la fin du film, il est vrai bien réussi. La parole est donnée à Allouèche qui explique pourquoi il a choisi Mostaganem. Mostaganem et Annaba sont les deux lieux les plus importants d’où partent les « Brûleurs ». Mosta (Oran) car très proche de l’Espagne et Annaba très proche de l’Italie. C’était plus dur de filmer à Annaba car « il y a une grande violence autour des Harraga. La maffia italienne a fait fusion avec les maffieux de Annaba, elle prépare les barques qu’elle leur revend ». Il ajoute : « dans mon film j’adresse deux messages. Le premier pour interpeler les officiels algériens… Il y a 600 Algériens dans les morgues espagnoles, c’est inadmissible. Le deuxième message je l’adresse aux Européens, qui se contentent de traiter le sujet en utilisant une comptabilité macabre. »
Suivent les questions du public. Merzak Allouache me reprend, il me répond « pour moi il n’y a pas eu de dictature en Algérie dans les années 70 » A une autre spectatrice (qui dit avoir été cinéaste en Algérie il y a longtemps) et qui regrette que les cinéastes algériens ne dénoncent pas la maffia politico-militaire il lui répond d’un air condescendant, hautain même « faites vous-mêmes des films et dénoncez ».
A propos de ses débuts, en faisant son premier film en 1975, autour du malaise des jeunes, « je ne pensais pas dit-il que 30 ans plus tard je ferais un autre film sur la détresse des jeunes. Je pensais que l’Algérie, qui est un pays riche allait se redresser. » Harraga ajoute-t-il est « un film témoignage ». Il ne se « mouille » pas plus…
Je reconnais un des acteurs (Samir el Hakim, le flic assassin). Je l’ai vu à Valence jouer au théâtre. Superbe. Je le lui dis à l’extérieur, je veux dire lors du buffet gratuit offert dans la grande salle près du bar (couscous et boissons à volonté). Il me dit qu’il rejoue la pièce (Bleu blanc vert de Maïssa BEY au début février à Aix. (Voir mon post ici, n° 146 du 20 mai 2009)
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Festival international du cinéma méditerranéen de Valencia
Harragas de Merzak Allouache remporte le Palmier d’or
Le prix, doté de 40 000 euros, lui sera remis samedi soir à la faveur d’une cérémonie de gala, à l’occasion de la clôture officielle de ce festival cinématographique qui a mis en compétition 12 films de 13 pays méditerranéens.
Harragas, qui a été déjà très bien accueilli par le public lors de sa projection, raconte l’odyssée de la traversée clandestine de la Méditerranée d’un groupe de jeunes à bord d’une patera avec l’espoir d’atteindre les côtes espagnoles, à partir d’une vision collective et austère proche du documentaire. Et ce, parmi les douze longs métrages en compétition officielle, Small crime de Cristos Georiou (Chypre), Question de cœur de Rchibugi (Italie), Ajami de Scandar Copti et Yaron Shani (Palestine, Israël), Ibrahim Labyad de Marwan Hamed (Egypte), Eden à l’Ouest de Costa Gavras (France, Italie, Grèce), Fais-moi plaisir d’Emmanuel Mouret (France), J’ai quelque chose à te dire de Cécile Telerman (France), Slovenian Girl de Damjan Kozole (Slovaquie), Brothers de Iggal Nidman (Israël), As God commands de Gabrielle Salvatores (Italie), Nées pour souffrir de Miguel Albadalejo (Espagne). « J’ai voulu parler d’un phénomène général, un drame qui touche beaucoup les jeunes des pays du Maghreb et de l’Afrique subsaharienne. Je ne parle pas des motivations de la traversée mais de la traversée elle-même », a souligné M. Allouache lors d’une conférence de presse, en présence des protagonistes de son film. « Notre histoire raconte l’odyssée d’un groupe de jeunes algériens qui traversent clandestinement la Méditerranée avec pour objectif d’atteindre le sud de l’Espagne, porte d’entrée de l’eldorado européen tant convoité. Hassan le ‘passeur’ se charge de former un groupe de clandestins potentiels, qui permettront la réussite de la traversée. Quatre de ses amis et six ‘brûleurs’ venus du Sud de l’Algérie participeront à l’aventure.
Ces derniers sont acceptés car ils financeront une grande partie de la traversée. C’est une véritable opération de commando – avec une organisation matérielle sans faille – qui est préparée minutieusement et dans le plus grand secret par Hassan, Nasser et Rachid. On achète la barque, le moteur, le GPS… On guette la météo mais les impondérables vont très vite s’accumuler avec pour commencer, l’irruption d’une jeune fille : Imène, la fiancée de Nasser. Un deuxième problème, beaucoup plus grave, se profile à l’horizon. Le groupe qui prépare fébrilement le départ ne s’inquiète pas de la présence d’un homme mystérieux qui les surveille. Le jour du départ, l’homme mystérieux, sous la menace de son arme, embarque de force. La traversée pour atteindre les côtes de l’Espagne qui se trouvent ‘juste en face’ de l’Algérie, commence ». Le Palmier d’argent, doté de 20 000 euros, a été attribué, quant à lui, au film Ajami, ce film a remporté également le prix du meilleur réalisateur. Le prix spécial du jury et celui de la critique est revenu à Eden à l’Ouest du célèbre réalisateur grec Costa Gavras, auteur notamment du film algérien Z (1969) ou encore Mon colonel (2006). Dans Eden à l’Ouest, C. Gavras, à l’instar de M. Allouache, apporte sa particulière vision du phénomène de l’immigration. Le prix de la meilleure interprétation féminine a été décerné à l’actrice Nina Ivanisin pour son rôle dans Slovenka de Damian Kozole, alors que l’acteur Kim Rossi Stuart a remporté celui du meilleur acteur pour son interprétation dans le film italien Questione di cuoro, de Francesca Archibugi, qui a remporté le prix du meilleur scénario. Le prix de la meilleure photographie et celui de la meilleure bande sonore ont été attribués respectivement à Renato Berta pour Dohawa de Raja Amari (Tunisie) et à David Hadjadj pour Harragas.
Harragas de Merzak Allouache remporte le Palmier d’or
Le prix, doté de 40 000 euros, lui sera remis samedi soir à la faveur d’une cérémonie de gala, à l’occasion de la clôture officielle de ce festival cinématographique qui a mis en compétition 12 films de 13 pays méditerranéens.
Harragas, qui a été déjà très bien accueilli par le public lors de sa projection, raconte l’odyssée de la traversée clandestine de la Méditerranée d’un groupe de jeunes à bord d’une patera avec l’espoir d’atteindre les côtes espagnoles, à partir d’une vision collective et austère proche du documentaire. Et ce, parmi les douze longs métrages en compétition officielle, Small crime de Cristos Georiou (Chypre), Question de cœur de Rchibugi (Italie), Ajami de Scandar Copti et Yaron Shani (Palestine, Israël), Ibrahim Labyad de Marwan Hamed (Egypte), Eden à l’Ouest de Costa Gavras (France, Italie, Grèce), Fais-moi plaisir d’Emmanuel Mouret (France), J’ai quelque chose à te dire de Cécile Telerman (France), Slovenian Girl de Damjan Kozole (Slovaquie), Brothers de Iggal Nidman (Israël), As God commands de Gabrielle Salvatores (Italie), Nées pour souffrir de Miguel Albadalejo (Espagne). « J’ai voulu parler d’un phénomène général, un drame qui touche beaucoup les jeunes des pays du Maghreb et de l’Afrique subsaharienne. Je ne parle pas des motivations de la traversée mais de la traversée elle-même », a souligné M. Allouache lors d’une conférence de presse, en présence des protagonistes de son film. « Notre histoire raconte l’odyssée d’un groupe de jeunes algériens qui traversent clandestinement la Méditerranée avec pour objectif d’atteindre le sud de l’Espagne, porte d’entrée de l’eldorado européen tant convoité. Hassan le ‘passeur’ se charge de former un groupe de clandestins potentiels, qui permettront la réussite de la traversée. Quatre de ses amis et six ‘brûleurs’ venus du Sud de l’Algérie participeront à l’aventure.
Ces derniers sont acceptés car ils financeront une grande partie de la traversée. C’est une véritable opération de commando – avec une organisation matérielle sans faille – qui est préparée minutieusement et dans le plus grand secret par Hassan, Nasser et Rachid. On achète la barque, le moteur, le GPS… On guette la météo mais les impondérables vont très vite s’accumuler avec pour commencer, l’irruption d’une jeune fille : Imène, la fiancée de Nasser. Un deuxième problème, beaucoup plus grave, se profile à l’horizon. Le groupe qui prépare fébrilement le départ ne s’inquiète pas de la présence d’un homme mystérieux qui les surveille. Le jour du départ, l’homme mystérieux, sous la menace de son arme, embarque de force. La traversée pour atteindre les côtes de l’Espagne qui se trouvent ‘juste en face’ de l’Algérie, commence ». Le Palmier d’argent, doté de 20 000 euros, a été attribué, quant à lui, au film Ajami, ce film a remporté également le prix du meilleur réalisateur. Le prix spécial du jury et celui de la critique est revenu à Eden à l’Ouest du célèbre réalisateur grec Costa Gavras, auteur notamment du film algérien Z (1969) ou encore Mon colonel (2006). Dans Eden à l’Ouest, C. Gavras, à l’instar de M. Allouache, apporte sa particulière vision du phénomène de l’immigration. Le prix de la meilleure interprétation féminine a été décerné à l’actrice Nina Ivanisin pour son rôle dans Slovenka de Damian Kozole, alors que l’acteur Kim Rossi Stuart a remporté celui du meilleur acteur pour son interprétation dans le film italien Questione di cuoro, de Francesca Archibugi, qui a remporté le prix du meilleur scénario. Le prix de la meilleure photographie et celui de la meilleure bande sonore ont été attribués respectivement à Renato Berta pour Dohawa de Raja Amari (Tunisie) et à David Hadjadj pour Harragas.
Par Ali Aït Mouhoub, APS
in El watan 25 10 2009
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