Nous quittons Fort Nelson le dimanche matin. La veille nous sommes allés prendre un verre au pub de la grande avenue,
puis au musée très étonnant par ses véhicules d'un autre âge, et qu'on croyait disparus (les véhicules).
Nous quittons donc Fort Nelson pour Fort Simpson à plus de 400 km de là, de route mauvaise, non goudronnée que nous avons parcourue à l’aller, et sur laquelle on ne peut rouler à plus de 60 km à l’heure et parfois même 40, car les nids de poules
et les dos d’âne (bump) ainsi que les travaux y sont nombreux.
Sur les côtés des milliers d'hectares de forêt de résineux et autres feuillus (sapins baumiers, bouleaux, pins gris, mélèze...) plus attrayants que les arbres de la forêt subarctique.
Mais, les moustiques, ou plutôt les maringoins comme on dit ici (comme disent les francophones bien sûr) sont d'une part extrêmement nombreux et d'autre part constamment sur la peau. Infernal, il faut ajouter d'autres insectes telles ces mouches noires, énormes, qui vous assaillent quoi que vous fassiez. Nous avons une protection, mais elle est gênante, sinon ridicule.
Nous arrivons péniblement en fin de journée après plusieurs arrêts, au niveau du traversier (traversée de nouveau de la rivière Liard)
Entrée à Fort Simpson
Sortie de Fort Simpson
puis Fort Simpson, que nous n’avons pas visité à l’aller. C’est un village bicentenaire de type « métis » de mille habitants où l’on rencontre et des indiens et des blancs. Il est situé aux confluents du fleuve Mackenzie et de la rivière Liard.
Ici-même le Pape est venu donner sa bénédiction aux indiens en septembre 1987. A propos de pape, notre infortune continue avec cette fois, une défection mécanique que nous réussissons à faire réparer sur le champ chez le seul mécanicien du village.
Nous traversons de nouveau la Liard en direction de Fort Providence que nous atteignons quatre heures plus tard, après avoir traversé cette fois le fleuve Mackenzie.
Fort Providence
puis au musée très étonnant par ses véhicules d'un autre âge, et qu'on croyait disparus (les véhicules).
Nous quittons donc Fort Nelson pour Fort Simpson à plus de 400 km de là, de route mauvaise, non goudronnée que nous avons parcourue à l’aller, et sur laquelle on ne peut rouler à plus de 60 km à l’heure et parfois même 40, car les nids de poules
et les dos d’âne (bump) ainsi que les travaux y sont nombreux.
Sur les côtés des milliers d'hectares de forêt de résineux et autres feuillus (sapins baumiers, bouleaux, pins gris, mélèze...) plus attrayants que les arbres de la forêt subarctique.
Mais, les moustiques, ou plutôt les maringoins comme on dit ici (comme disent les francophones bien sûr) sont d'une part extrêmement nombreux et d'autre part constamment sur la peau. Infernal, il faut ajouter d'autres insectes telles ces mouches noires, énormes, qui vous assaillent quoi que vous fassiez. Nous avons une protection, mais elle est gênante, sinon ridicule.
Nous arrivons péniblement en fin de journée après plusieurs arrêts, au niveau du traversier (traversée de nouveau de la rivière Liard)
Entrée à Fort Simpson
Sortie de Fort Simpson
puis Fort Simpson, que nous n’avons pas visité à l’aller. C’est un village bicentenaire de type « métis » de mille habitants où l’on rencontre et des indiens et des blancs. Il est situé aux confluents du fleuve Mackenzie et de la rivière Liard.
Ici-même le Pape est venu donner sa bénédiction aux indiens en septembre 1987. A propos de pape, notre infortune continue avec cette fois, une défection mécanique que nous réussissons à faire réparer sur le champ chez le seul mécanicien du village.
Nous traversons de nouveau la Liard en direction de Fort Providence que nous atteignons quatre heures plus tard, après avoir traversé cette fois le fleuve Mackenzie.
Fort Providence
Le lendemain nous prenons la route pour Yellowknife. Et toujours ces travaux.
... et ses bisons:
Lorsque nous arrivons à Yellowknife, notre soulagement est grand. Nous avons la sensation d’y résider depuis longtemps, nous y sommes plus sereins.
... et ses bisons:
Lorsque nous arrivons à Yellowknife, notre soulagement est grand. Nous avons la sensation d’y résider depuis longtemps, nous y sommes plus sereins.
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