« Née à Bondy, c’est sur l’île de la Guadeloupe que Tricia Evy grandit et manifeste très tôt sa passion pour la musique. Aujourd’hui entourée d’une rythmique de haut vol réunissant le pianiste David Fackeure (deux nominations aux Victoires du Jazz en 2008), le bassiste Thierry Fanfant (entendu régulièrement aux côtés de Bernard Lavilliers, Eddy Louis, Paco Séry,…) et du batteur Jean-Philippe Fanfant (Mario Canonge, Tania Maria, Kassav’, Christophe Maé ou encore La Nouvelle Star...), Tricia Evy nous emmène en voyage, entre swing, biguine et bossa nova. » (in : http://www.lestran.net)
Ou :
« Tricia Evy une chanteuse comme on en voit peu, et ses premiers pas sur la scène jazz en France ont été immédiatement remarqués...
Née le 26 Avril 1984 à Bondy, c'est sur l'île de la Guadeloupe qu'elle grandit et manifeste très tôt sa passion pour la musique à l'écoute d'artistes tels que Patrick Saint Eloi, Al Lirvat, George Brassens...
A son arrivée en France en 2006, elle se tourne vers le Jazz en travaillant aux côtés du saxophoniste Xavier Richardeau et du guitariste Jean-Philippe Bordier. Le trio qu'ils forment sort l'album "Beginning" en 2010.
Aujourd'hui à la tête d'un quartet composé de David Fackeure au piano, Thierry Fanfant à la contrebasse et Jean-Philippe Fanfant à la batterie, Tricia Evy chante un répertoire riche aux couleurs Jazz et Caraïbes et nous emmène en voyage vers des rythmes allant du Swing à la Biguine, en passant par la Bossa Nova.
Le public a déjà pu découvrir Tricia Evy sur de nombreuses scènes ( Duc des Lombards, Enghien Jazz Festival, Marciac Jazz Festival, Festival Jazz de Doha au Qatar, Festival Carib In Jazz à l'Olympia, Orleans Jazz...).
NOMS DES MUSICIENS:
Tricia EVY (voix) David Fackeure (piano) Thierry Fanfant (basse & contrebasse) Jean-Philippe Fanfant (batterie) » (in : http://www.sortiracourbevoie.com )
Ou encore :
« Son nom n'est pas encore familier du grand public. Mais la Guadeloupéenne Tricia Evy, qui a fait deux soirs à l'Olympia en janvier 2010 dans le cadre du festival Carib'in, s'est déjà taillé un succès d'estime qui l'a emmenée jusqu'au Qatar et en Australie.
Sa musique : un jazz caribéen, qui mélange standards et biguine.
Tricia Evy, c'est votre vrai nom?
Tricia Evy. En fait, ce sont mes deux prénoms. Je les aime beaucoup, j'ai choisi d'en faire mon nom de scène.
La scène, ce n'était pas un objectif professionnel au départ...
Non. J'ai toujours aimé chanter. A la Guadeloupe, où j'ai vécu de 3 ans à 22 ans, je chantais tout le temps, mais même en grandissant, je ne pensais pas en faire une carrière. Je voulais être vétérinaire! La première fois que l'idée m'est venue, c'est quand j'ai gagné un concours de chant avec «Crier», la chanson de Patrick Saint-Eloi (le chanteur de Kassav, NDLR). Je chantais avec un orchestre, c'était magique.
Vous êtes partie ensuite en métropole pour terminer une licence de biologie. Qu'est-ce qui s'est passé?
C'est la rencontre avec Xavier Richardeau qui a tout changé. J'avais mis la vidéo du concours de chant sur Myspace et il m'a invité à venir l'écouter au Duc des Lombards. C'était mon premier concert de jazz, une deuxième révélation. Tout s'est enchaîné très vite: on a commencé à jouer ensemble, des biguines car c'est la musique de mon pays. C'est lui qui m'a suggéré de faire du jazz. J'ai appris sur le terrain en faisant plein de live.
Sur votre album, vous reprenez des standards de jazz, des biguines, mais aussi la chanson de Brassens «Je me suis fait tout petit»...
C'est un morceau que je kiffe, Brassens c'est très jazz si on y regarde bien! Avec cet album ou en concert, je propose un voyage à travers ce que j'aime, les morceaux qui me touchent et qui touchent le trio.
Le nom de l'album, «Beginning», c'est pour dire que vous n'en êtes qu'au début?
J'espère en effet que c'est le début d'une longue, longue carrière, mais c'est aussi une façon de demander au public d'être indulgent. Et puis, c'est un petit jeu de mots avec biguine.
Quelles figures du jazz vous inspirent?
Les premières, ce sont Ella Fitzgerald et Billie Holiday, deux chanteuses complémentaires pour moi. Un côté envolé, un côté sombre, comme la vie! C'est marrant, l'autre soir, un spectateur m'a dit que je devais boire un peu d'alcool parce que ma voix était encore trop pure... Des gens pensent que pour chanter du jazz, il faut avoir souffert et moi j'arrive, tout sourire. Mais ça ne m'empêche pas de chanter des chansons tristes et prenantes!
Vous avez déjà fait pas mal de scènes à travers le monde, l'Olympia en 2010, le Qatar, l'Australie, le Sénégal, la Suisse... Quel a été le concert le plus marquant?
Le plus beau souvenir, c'était en août dernier à La Martinique, dans une arène avec 1.200 personnes tout autour de nous. On a mis les gens dans notre poche en reprenant une chanson créole très joyeuse. J'étais hyper fière que ça se passe aussi bien dans mon pays (car ma mère est martiniquaise). Et puis, j'ai un très beau souvenir aussi d'un concert dans le club de Courtry en Seine-et-Marne. On était 40 personnes. Contrairement à Paris, les gens ne sont pas blasés. C'est ce que j'aime en province. » (in : http://www.charentelibre.fr )
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