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vendredi, mai 29, 2009
150- Kateb Yacine L'amour et la Révolution
Nous nous sommes retrouvés, une cinquantaine, au niveau du cinéma Les Arcades de Salon. Médiène, ami de Yacine est là. Nous avons échangé, Yacine, les amis communs, Oran et la première projection de ce film à laquelle nous avons assité tous deux et Yacine et une centaine d'autres... C'était à Oran en 1989, "le 3 juillet" précise Médiene. Fadéla M'rabet est parmi nous
mercredi, mai 27, 2009
149- Fadéla M'rabet à Salon
Atrium
Hier mardi 18h30: Conférence sur le thème «Femmes, Ecriture et Engagements» menée par l’Association Forum Femmes Méditerranée avec Esther Fouchier, féministe, fondatrice du FFM, Fadéla M’rabet, écrivain, algérienne et féministe, Jacqueline Aid, et Michèle Juan Cortada, écrivain. Mise en évidence du rôle des femmes aux 19ème et 20ème siècles et de leur engagement par l’écriture dans les sociétés patriarcales méditerranéennes.
Nous étions une dizaine (plus les intervenantes) dont Fadéla M'rabet. Son ntervention a porté sur les émissions qu'elle a animées sur la chaîne 3, radio algérienne en français, au tout début de l'indépendance. Elle a dit l'énorme succès de l'émission et les difficultés pour continuer à travailler, à cause de la censure.
Je l'ai félicitée pour "avoir mis le doigt là où il fallait. Car certaines groupes (en Algérie comme en France) ne ciblent que l'islamisme, mal absolu, en faisant silence total sur les racines du mal : la dictature militaire. Elle a germé durant la révolution, s'est pleinement exprimée de 65 à 88, s'est transformée en régime autoritaire dès 92."
Fadéla a été touchée. Nous avons discuté un long moment. Rendez-vous a été pris pour jeudi. Avec d'autres personnes aussi.
Salon-de-Provence
Librairie «La Portée Des Mots» > 17h
Rencontre de l’auteur Benamar Mediene pour sa Biographie
hétérodoxe «Kateb Yacine, le coeur entre les dents»
Cinéma Les Arcades 18h45
Projection du film «Kateb Yacine, l’amour et la révolution»
de Kamel Dehane
1 h - Entrée libre - Ados et Adultes
Librairie « La Case à Palabres » 20h
Atelier d’écriture avec Dominique Sigaud (Groupe 2 - séance 2)
2h - Ados et adultes - Réservation : 04.90.44.85.85
dimanche, mai 24, 2009
148- Direction Nice St Cassien et retour.
Arrivé à Nice en fin de journée. Trop Kitch. Je ne m'attarde pas. Direction le
lac de Saint Cassien.
Nuit à Montauroux. Le camping du Lac a des soucis avec sa grille d'entrée...
Alors le Lac lui même. Toujours aussi magnifique. Le temps aidant (plutôt voilé le ciel).
17 heures direction Fréjus, puis non, plutôt Toulon. Belle soirée sur le port.
Samedi direction le dom.
147- Après le théâtre. et le lendemain
Un vent léger rafraichit agréablement les lieux. Je lis des prospectus...
Le lendemain je découvre vraiment la ville, large et lumineuse. Beau temps. Vers midi je prends la direction de Nice.
mercredi, mai 20, 2009
146- Valence Bleu blanc vert. Avec Maïssa Bey
Comme je l’ai écrit en post 144, à Valence se tient le festival « Temps de paroles ». C’est dans ce cadre que je suis ici. La pièce se déroule au théâtre de la fabrique. Prendre bd Victor Hugo, au bout à droite la rue Ch. Péguy.
La pièce:
Lilas et Ali apprennent brusquement qu'il est interdit d'utiliser le crayon rouge : le papier reste blanc, l'encre reste bleue, mais les corrections se feront dorénavant en vert. Il n'est pas question de maintenir le bleu blanc rouge, couleurs haïes de la colonisation. À partir de cet acte fondateur, les deux héros de “ "Bleu blanc vert", roman ironique et amer de Maïssa Bey, racontent trente ans d'Algérie indépendante, de 1962 à 1992 où tout bascule avec la victoire du Front Islamique du Salut aux élections et l’assassinat du président Boudiaf.
Kheireddine Lardjam est un jeune metteur en scène qui vit et travaille en Algérie. Depuis toujours, son travail associe le jeu théâtral à la danse, quelquefois au chant et à la musique. S'il adapte, ou plutôt prolonge, ici avec l'auteur Christophe Martin, le livre de Maïssa Bey, c'est parce que le texte, exempt de toute tentation nationaliste, est un témoignage contre l'oubli des affres du passé. Entre douceur et cruauté, ces deux monologues intimes d'un couple parcourant une page d'Histoire ramènent aux questions essentielles de la jeunesse algérienne : comment assumer la difficile mission d'être la première génération d'un peuple libéré du colonialisme ? Comment vivre dans une société déchirée entre modernité et traditions ? “Bleu blanc vert” est un spectacle (deux heures) produit par la Comédie de Valence et accueilli en résidence pour sa création française. (Dixit).
Nous étions une belle et bonne centaine de personnes. Le plein. dans une salle où il faisait aussi chaud qu'à l'extérieur. Les acteurs furent magnifiques hors mis deux ou trois hésitations à dire certaines expressions. 3 bonnes minutes d'acclamation, debout.
A propos du livre Bleu, blanc, vert de MAISSA BEY lire ma recension ici même, au post n° 63.
mardi, mai 19, 2009
145- Huis clos de Sartre
Après Caligula d'Albert Camus, remarquablement interprété la saison dernière, la Cie Uppercuthéâtre revient au Théâtre La Colonne pour nous présenter une pièce majeure dans l'œuvre de Jean-Paul Sartre, Huis Clos. Un garçon d'étage introduit, dans un salon style « Empire », Garcin le journaliste-publiciste, Inès l'employée des postes et Estelle la mondaine. Ainsi débute un hallucinant huis clos. Ils vont se livrer un combat de mots qui leur fera réaliser le sens de la vie et de la mort. Ils s'interrogent sur leur damnation et se cachent sous le masque de la « mauvaise foi ». Chacun a besoin de l'autre pour exister, prendre conscience de soi ; le regard d'autrui est aussi une menace. La violence, l'humour, le désespoir et la révolte traversent cette pièce d'une simplicité diabolique et à la mécanique implacable.
Source : Organisateurs
144- Bleu, blanc, vert au théâtre à Valence
FESTIVAL TEMPS DE PAROLES 2009 à VALENCE Du 19 au 30 mai 2009 Artistes du festival : Maïssa BEY - Christophe MARTIN - Kheireddine LARDJAM - FELLAG - Marianne EPIN - Mustapha BENFODIL - Salah GAOUA - Hamid Ben MAHI - Guy ALLOUCHERIE - Aziz CHOUAKI - Jean-Louis MARTINELLI Après avoir tenté d'approcher et d'interroger l'Histoire fratricide du Moyen-Orient il semblait tout naturel de nous tourner vers les seuils de nos propres frontières et d'ouvrir ce nouveau Temps de paroles pour mener une réflexion sur les rapports complexes de la France et de l'Algérie. À l'heure où les problématiques de l'intégration, du partage, du respect réciproque des cultures et de l'histoire, demeurent des questions aux réponses inachevées ou éludées, il nous semble qu'une fois encore, le Théâtre peut remplir un rôle. Cette édition ambitionne par la médiation et la confrontation d'auteurs, d'artistes et d'intellectuels, algériens, français et français issus de l'immigration algérienne, de soulever la chape de silence qui recouvre notre Histoire commune depuis la fin de la guerre d'Algérie. L'incompréhension mutuelle, les non-dits et l'héritage des blessures du passé se nourrissent de l'ignorance et du silence. Nous espérons modestement, au travers de débats, de spectacles, de rencontres, emprunter, à l'échelle de notre cité, le chemin si souvent salutaire de l'échange dans ce “Temps de paroles”. Bleu, blanc, vert Maïssa Bey / Christophe Martin / Kheireddine Lardjam
du 19 au 26 mai à 19h, la Fabrique (Valence) D'après le roman de Maïssa Bey—adaptation théâtrale Christophe Martin—mise en scène Kheireddine Lardjam—musique et chants Larbi Bastam—avec Malika Bel Bey, Larbi Bastam, Samir El Hakim—Production Comédie de Valence–Centre dramatique national Drôme Ardèche—Coproduction La Fédération d'Associations de Théâtre Populaire / Ambassade de France en Algérie (SCAC)/ Compagnie El Ajouad / Maison de la Culture d'Oran / Théâtre National d'Oran /L'Arc Scène Nationale du Creusot/ Culture Commune - Scène Nationale du Bassin Minier du Pas-de-Calais—avec le soutien de Cultures France, de la Région Rhône-Alpes dans le cadre du FIACRE, du Forum du Blanc Mesnil, du Centre Culturel Français d'Alger et la participation artistique de l'ENSATT—la compagnie « El Ajouad » est soutenue par la DRAC Bourgogne, le Conseil Général de Saône et Loire et le Conseil Régional de Bourgogne—création 2009 Entre Oran et Valence, une création aux couleurs de l'Algérie d'aujourd'hui Lilas et Ali apprennent brusquement qu'il est interdit d'utiliser le crayon rouge : le papier reste blanc, l'encre reste bleue, mais les corrections se feront dorénavant en vert. Il n'est pas question de maintenir le bleu blanc rouge, couleurs haïes de la colonisation. À partir de cet acte fondateur, les deux héros de “Bleu blanc vert”, roman ironique et amer de Maïssa Bey, racontent trente ans d'Algérie indépendante, de 1962 à 1992 où tout bascule avec la victoire du Front Islamique du Salut aux élections. Kheireddine Lardjam est un jeune metteur en scène qui vit et travaille en Algérie. Depuis toujours, son travail associe le jeu théâtral à la danse, quelquefois au chant et à la musique. S'il adapte, ou plutôt prolonge, ici avec l'auteur Christophe Martin, le livre de Maïssa Bey, c'est parce que le texte, exempt de toute tentation nationaliste, est un témoignage contre l'oubli des affres du passé. Entre douceur et cruauté, ces deux monologues intimes d'un couple parcourant une page d'Histoire ramènent aux questions essentielles de la jeunesse algérienne : comment assumer la difficile mission d'être la première génération d'un peuple libéré du colonialisme ? Comment vivre dans une société déchirée entre modernité et traditions ? “Bleu blanc vert” est un spectacle produit par la Comédie de Valence et accueilli en résidence pour sa création française.
lundi, mai 11, 2009
143- Leïla Marouane
Leïla Marouane (Écrivaine et féministe)
« Le bilan des femmes est triste mais la lutte ne dois pas s’arrêter »
L’écrivaine et féministe algérienne, Leïla Marouane, vient d’opposer un refus catégorique au ministère de la Culture pour la réédition de son livre La Jeune fille et la Mère. Elle refuse toute compromission avec les autorités tant que le code de la famille demeure en vigueur. Dans son dernier livre, elle retrace l’histoire du féminisme en Algérie avec un rare talent.
Vous êtes très en colère contre les autorités algériennes. Vous venez même de refuser la réédition de votre livre La Jeune fille et la Mère par le ministère de la Culture. Quelles sont les raisons de ce refus ?
Les raisons sont multiples et évidentes. D’abord, parce que je trouve que ce festival panafricain est conçu pour la façade, ensuite la première question que je me suis posée, lorsque j’ai reçu cette proposition via Le Seuil, mon éditeur, était la suivante : la culture sans liberté, à quoi cela sert-il ? Me connaissant, je suis capable, lors d’une quelconque intervention lors du festival, de tenir des propos qui ne plairont pas, notamment à l’égard du régime et de ses militaires. Comme je ne perds pas de vue certaines « affaires » de délit d’opinion dont ont été victimes des confrères journalistes. Aussi, je tiens à rester en accord avec moi-même, je rappelle mes déclarations à l’égard du régime, comme celle qui se trouve sur l’une des 4es de couverture de Les Criquelins (2004) où il est écrit que je renonce à rentrer en Algérie tant que les lois qui le régissent sont en défaveur des femmes. Autre élément rédhibitoire : la corruption qui sévit dans le pays, les placements occultes de deniers publics dans les banques étrangères, la libéralisation sauvage, la privatisation des entreprises et la promotion des investissements soutenus par un ministère ! Par ailleurs, nous continuons d’assister à la précarisation dans laquelle le peuple algérien s’engouffre jour après jour, au point où des jeunes, tristement baptisés les harraga, prennent la Méditerranée afin d’atteindre son nord au risque d’y laisser leur vie. Peut-on participer à un festival de cette envergure (on parle de 78 millions de dollars !) alors que récemment quelque 600 jeunes clandestins morts en mer ont été incinérés par les autorités espagnoles ? Alors que des milliers de familles sont mal logées ou pas logées du tout. Que des jeunes, même les diplômés, sont au chômage ? Je tiens à rappeler que je suis issue de parents révolutionnaires, ma mère, après avoir été torturée par des militaires français pour son engagement dans la guerre d’Algérie, a pris le maquis à l’âge… de 16 ans. C’était en 1958. Jusqu’à sa mort précoce, malgré sa déception, ses colères contre les passe-droits, le clientélisme, la corruption, elle n’a pas un seul jour, un seul instant regretté ce qu’elle a donné pour l’indépendance de son pays. Idem pour mon père qui a abandonné ses études pour la même cause, alors que certains de ses condisciples, dont Mohamed Arkoun, ont choisi de boycotter la fameuse grève des étudiants. A l’indépendance, mon père était commandant de l’ALN. Intellectuel, il a refusé en 1962 de poursuivre une carrière militaire.
Vous pénalisez le lecteur algérien, déjà appauvri sur le plan littéraire, par votre refus…
Pour revenir à mon refus d’être éditée via le pouvoir, je tiens à souligner que je regrette que mes lecteurs algériens ne puissent pas accéder à mes livres sur place. Mais comme je l’ai précisé à mon éditeur, je serai ravie d’être rééditée en Algérie par le biais d’une maison d’édition indépendante. Enfin pour conclure sur cette question, l’actualité, c’est bien, l’éternité c’est mieux.
Vous signez votre dernier livre Le papier, l’encre et la braise de votre vrai nom, Leyla Z. Mechentel. Vous-vous êtes réappropriée votre ancienne identité et donc Leïla Marouane disparaît ...
Leïla Marouane ne pourra pas disparaître. Il est pérenne comme les livres qui portent ce nom que j’ai dû prendre en 1996, lors des années de sang. Une sorte de protection qui, de toute façon, a été très vite révélée par Pierre Assouline, à l’époque directeur du magazine Lire. Je suis traduite dans plusieurs pays et récemment un éditeur new-yorkais a acheté les droits de mon avant-dernier ouvrage. La question est : vais-je retrouver mon nom de romancière (Leïla Marouane) où garderai-je mon nom de naissance et de journaliste (Leyla Mechentel) ? Je ne le sais pas. Pour mieux répondre à votre question, j’ai repris mon ancien nom pour répondre à certains lecteurs qui croient que je me « cache », et par là, pour faire tomber cette espèce de musellement qui ressemble à s’y méprendre à de l’autocensure non pas dans mes écrits, mais dans mes prises de paroles. Sinon d’autres raisons existent qui relèvent du privé, que je révélerai certainement quelque part, sûrement dans un livre.
Votre dernier livre retrace l’histoire du féminisme algérien depuis l’indépendance. Vous semblez désenchantée. La colère a-t-elle cédé la place à la résignation ? Quel bilan faites-vous de cette lutte ?
Désenchantée, oui. Résignée, non, car des camarades, femmes et hommes en Algérie, mais aussi ici, en Europe, continuent le combat. Les moyens sont divers et différents, mais tous conduiront à un résultat. Tous ces combats, je l’espère, finiront bien par porter leurs fruits. Inchallah, par la volonté des femmes et de ces hommes. Qui aurait crû assister à des révolutions sociales telles que celles qui n’ont de cesse de naître dans les pays d’Amérique latine, portant au pouvoir des personnalités hostiles à la mondialisation ? Je pense notamment à Hugo Chavez, au Venezuela. Le bilan des femmes en Algérie est certes triste, mais la lutte ne doit pas s’arrêter, loin s’en faut. Aucun et aucune de nous ne doit baisser les bras. On doit penser à l’héritage que nous laisserons aux générations montantes. Apprendre aux jeunes d’aujourd’hui les valeurs universelles qui font d’une nation un Etat de droit. A ce titre, un Etat de droit se distingue d’un Etat policier par le respect des droits de l’homme, n’est-ce pas ? Or, dans notre pays, le respect des droits de l’homme n’existe pas. Dois-je ajouter « hélas » ? Oui, mille fois hélas !
Comment avez-vous construit ou plutôt déconstruit votre récit ?
Le Papier, l’encre et la braise devait être un livre-document. Les éditions du Rocher, qui m’ont fait l’honneur de sa commande, s’attendaient à des portraits croisés de femmes algériennes exilées en Europe. Comme j’ai gardé le contact avec des femmes de ma génération au parcours similaire au mien, la tâche m’a paru facile. Mais tout au long de mes investigations, mes amies, d’abord enthousiastes, se sont mises à se rétracter. Chacune avait ses raisons. C’est ainsi que j’ai fait un retour en arrière, évoquant les années 1980 notamment, puis celles qui ont suivi. Ce qui m’a permis de faire une analyse en filigrane du parcours que nous avons mené, nous les femmes, pour l’amélioration de notre condition. Vous connaissez la suite...
D’abord journaliste en Algérie, puis en France, Leïla Marouane se consacre exclusivement à l’écriture romanesque depuis La Fille de la Casbah, publié en 1996. On lui doit, entre autres, Le Châtiment des hypocrites (2001), prix de la Société des gens de lettres, prix du roman français à New York, et La Jeune Fille et la mère (2005), prix de l’Association des écrivains de langue française et prix Jean-Claude Izzo.
dimanche, mai 10, 2009
142- NEDJMA de KY à l'ENS -Une première
Nedjma, de Kateb Yacine:
Dossier pour les classes préparatoires,
par Charles Bonn (Université Lyon 2)
Il faut d'abord saluer l'événement : pour la première fois, en 2009, un grand texte fondateur de la littérature maghrébine francophone figure au programme du concours d'entrée à l'Ecole Normale Supérieure. Ce qui semblerait une évidence pour qui n'est pas familier de la frilosité du système universitaire français apparaît pourtant aux familiers de ce système comme une véritable révolution.
La présente page a pour but de proposer aux élèves des classes préparatoires quelques documents leur permettant de se familiariser avec ce domaine littéraire nouveau pour la plupart d'entre eux, ainsi que quelques lectures de ce texte si dense, qui en déconcertera certainement plus d'un.
Cette page est en cours d'élaboration et sera complétée.