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samedi, octobre 31, 2015

512_ 20° Salon international du livre d'Alger.







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Samedi matin 31 octobre

Nous avons quitté Oran par sa gare, tôt le matin, hier vendredi. Il était 8 heures. Le train est un Rapide. Départ à l’heure prévue moins trois minutes. Arrêt à Chlef. La voiture où nous nous trouvons est pleine. Des voyageuses s’énervent à propos de rideaux à tirer ou non. Les passagers restent cois, mais pas le contrôleur « Sallou ala ennbi… » Il réussi à les calmer, mais entre temps des injures avaient fusé… Il fait chaud lorsque nous arrivons à 10 heures à Chlef et que les esprits sont sur le qui-vive, on ne sait jamais. Cinq minutes d’arrêt. On a eu droit à un thé (gratuit) et à des biscuits, sandwichs (payants)… distribués à partir d’un chariot sans âge, conduit par une jeune et charmante employée en tenue SNTF, bleu-nuit sur lequel est porté bien en vue le nom de l’employeur. Blida, Boufarik… Nous atteignons Alger gare Agha à 12 heures 55. Recherche d’un hôtel ni trop cher, ni inconfortable… A cette heure-ci, un jour sain, tout est ou presque tout est closed. Débrouillez-vous. Face au fameux hôtel Aletti une gargote propose des sandwichs. Une étrangère, (européenne ?) entre avec ses deux enfants. Le serveur lui dit instantanément « pas maintenant madame ». J’ai comme l’impression qu’il s’agit là d’un refus de servir parce qu’elle est femme, puisque moi-même suis servi, « un sandwich steack haché-frites ». La pauvre femme reprend « pas maintenant ? » et sort. Elle ne semble pas avoir saisi, et j’en suis presque honteusement content. Content qu’elle n’ait pas saisi la saloperie du gars, un sexisme doublé de xénophobie. Alors que je quitte la sandwicherie, à l’extérieur trois hommes sortis, je ne sais comment, d’un imposant 4X4 sautent sur un homme qui semble avoir picolé un peu. On ne lui pardonne pas d’avoir bu un jour sain (au nom de quelle loi ? la leur). En trois temps, trois mouvements, le malheureux, un tas désarticulé, est brutalement jeté dans le véhicule qui part en trombe vers une destination trouble.

Taxi, direction le Palais des expositions. 500 dinars demande le premier, 700 le deuxième, 300 le troisième. Arrivé à hauteur du Palais, le chauffeur du taxi ne sait pas trop si l’impressionnante queue devant nous est formée par des admirateurs de tel ou tel écrivain ou bien par des mordus du super Centre commercial R 10 ( ? histoire de pirate… ne cherchez pas à comprendre…) appartenant dit-il à Saïd Bouteflika… Je ne peux l’aider.

 

Le Palais des expositions déborde de clientèles. L’Institut français est archi bondé. Autour de Salim Bachi qui répond patiemment à toutes les questions, les spectateurs sont très attentifs. Benjamin Stora qui lui succède répond aux cinq  questions de l’animateur puis s’empresse d’aller vendre ses livres…



Trois allées plus loin je rencontre Nadia Sekhi et Hassina Hadj Sahraoui, les courageuses animatrices des revues Livresq et Salama. Echanges et perspectives…

 


Je reviendrai. 17 heures, la foule se fait plus compacte - impressionnante -  et cela me perturbe quelque peu. Je prends le tram jusqu’à Ruisseau puis le Métro jusqu’à Tifoura, la Grande poste. Je continue à pied jusqu’à l’Institut français. Maïssa Bey et Laure Adler (magnifique) évoquent le dernier roman de Maïssa « Hizya ». Une collation est offerte par les responsables. Monsieur l’ambassadeur est parmi nous, ainsi que du directeur du lieu et d’autres collaborateurs… Nous avons passé un long moment à échanger avec l’auteure de Hizya ainsi qu’avec Laure Adler. Je lui dis toute mon admiration. Et lui offre mon « Arabe dans les écrits d’Albert Camus ». Elle parle de son métier, de ses expériences diverses au milieu du monde médiatico-politique… de son ancien poste auprès de Mitterrand… Une collation dans les jardins de l'Institut a lieu.....

dimanche, octobre 25, 2015

510_ Maïssa BEY à Oran avec HIZYA

C'est dans la salle des conférences de l'église Pierre Claverie qui se trouve à "St-Eugène" à Oran, une salle assez chargée que s'est déroulée l'intervention de Maïssa Bey. Environ 130-150 personnes, "beaucoup d'amis" reconnaitra l'auteur, venues l'écouter présenter son dernier roman HIZYA. "C'est la toute première rencontre à propos de ce roman" dira Maïssa. L'histoire de cette héroïne, "princesse des sables, l'antilope du désert (qui) s'est éteinte dans les bras de son bien-aimé, il y a de cela près d'un siècle et demi." Des échanges avec le public eurent lieu après l'intervention de Maïssa BEY. Echanges qui se sont poursuivis par une collation et une séquence dédicaces.


WIKIPEDIA




mercredi, octobre 21, 2015

509_ Conflit Israélo-Palestinien: Y en a marre_ par Pascal Boniface

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Y’en a marre

Pascal Boniface
19 octobre 2015

De nouveau, les flambées de violences entre Israéliens et Palestiniens. De nouveau, les civils qui sont les premières victimes. Vraiment, on a envie de dire : « y’en a marre ».


Y’en a marre des communiqués de dirigeants européens qui déplorent les violences, appellent à la retenue, déclarent leur émotion et ne font absolument rien de concret pour que cela change.


Y’en a marre de ces dirigeants arabes qui manifestent de manière purement et uniquement verbale leur solidarité avec leurs frères palestiniens.


Y’en a marre de voir Barack Obama jouer les Gulliver empêtré dans ce conflit.


Y’en a marre de voir la plupart des responsables politiques américains pratiquer un suivisme aveugle à l'égard de la politique israélienne.


Y’en a marre de voir l'extrême droite fortement présente dans le gouvernement israélien, sans que cela gêne en aucune manière les pays occidentaux.


Y’en a marre de ceux qui affirment vouloir combattre l’extrême droite en France, mais la soutiennent en Israël.


Y’en a marre de ceux qui prônent partout le droit d’ingérence, sauf au Proche-Orient.


Y’en a marre de voir les responsables israéliens appeler sans cesse à plus de répression et croire, ou faire semblant de croire, que cela va suffire à ramener le calme et que les Palestiniens vont éternellement accepter d'être un peuple vaincu.


Y’en a marre de voir le racisme décomplexé des colons israéliens, leur sentiment de supériorité tranquillement affiché et le déni qu’ils ont de l’existence même des Palestiniens.


Y’en a marre des médias qui mettent sur le même plan occupant et occupé et pensent dégager une position équilibrée.


Y’en a marre de voir que le Hamas pense gagner quelque chose en envoyant des roquettes sur le sud israélien, alors que les plus importantes destructions qu'il a créées ont été celles du camp de la paix en Israël.


Y’en a marre de voir Mahmoud Abbas nourrir l'illusion depuis dix ans que les Américains vont lui accorder ce qu’il demande.


Y’en a marre de voir en France les organes communautaires juifs officiels déplorer l'importation du conflit et appeler à une solidarité sans faille avec Israël.


Y’en a marre que l'on fasse passer pour antisémites ceux qui ne font que critiquer le gouvernement israélien.

Y’en a marre qu’on instrumentalise la lutte contre l’antisémitisme au profit de la défense du gouvernement israélien.


Y’en a marre de ceux qui croient aider les Palestiniens et font une confusion entre juifs français et israéliens.


Y’en a marre de ceux qui pensent venger les Palestiniens en s’attaquant aux juifs français.


Y’en a marre de ceux qui condamnent les sionistes en général et mettent sur le même plan Avraham Burg et Naftali Bennett.


Y’en a marre de ceux qui se disent pour la solution à deux États et qui soutiennent systématiquement toutes les actions de l'armée israélienne.


Y’en a marre de ceux qui dénoncent le terrorisme pour justifier une répression qui, loin de le combattre, vient le nourrir.


Y’en a marre des lâches qui n'osent pas s'exprimer sur le sujet de peur de prendre des coups.


Y’en a marre de ceux qui pensent qu'au XXIe siècle, l'occupation d'un peuple par un autre ne pose pas de problème.


Y’en a marre que tous ceux qui, faisant cela, non seulement piétinent les principes de justice et de valeur universelle dont souvent ils se réclament, mais surtout insultent l'intelligence de ceux auxquels ils s'adressent en pensant que leurs arguments passent encore la rampe.


PB.

In :

508_ Jungle de Calais : l'appel des 800


 















Cinéastes, écrivains, intellectuels...
Jungle de Calais : l'appel des 800
Par LIBERATION— 20 octobre 2015 à 12:16 (mis à jour à 12:44)
Cinéastes, écrivains, philosophes, chercheurs, intellectuels… Tous se mobilisent pour alerter l’opinion publique sur le sort réservé aux migrants et réfugiés de la jungle de Calais. Ils lancent l’appel de Calais dont voici les 800 premiers signataires. 
L’appel de Calais
Depuis des semaines, de nombreuses associations sur le terrain cherchent à alerter l’opinion publique des épouvantables conditions de vie réservées aux migrants et aux réfugiés de la jungle de Calais.
Cinq à six mille femmes, hommes et enfants, épuisés par un terrible voyage, laissés à eux-mêmes dans des bidonvilles, avec un maigre repas par jour, un accès quasi impossible à une douche ou à des toilettes,une épidémie de gale dévastatrice, des blessures douloureuses, des abcès dentaires non soignés. Et les viols des femmes. Les enfants laissés à eux-mêmes dans les détritus. Les violences policières presque routinières. Les ratonnades organisées par des militants d’extrême droite.
Jusqu’à quand allons-nous nous taire ?
Au prétexte que des conditions de vie moins inhumaines pourraient produire «un appel d’air» envers d’autres réfugiés, le gouvernement de notre pays a décidé de se défausser sur les associations et les bonnes volontés. Celles-ci sont admirables mais ne peuvent pas tout.
Ce désengagement de la puissance publique est une honte dans un pays qui même en période de crise, reste la sixième puissance économique mondiale.
La spirale du pire est amorcée.
Les discours réactionnaires ou fascisants ne cessent depuis des années de diviser les gens, d’opposer des catégories toujours plus fragmentées, pour mieux propager leur idéologie haineuse.
Aujourd’hui leur propagande avance l’argument qu’il n’y aurait plus de place pour les exilés d’où qu’ils viennent, soi-disant au nom de la défense des plus pauvres des Français.
Cette mise en concurrence des indigences est ignoble.
Elle nous habitue à l’idée qu’il y aurait des misères défendables et d’autres non.
Elle sape les fondements des valeurs constitutives de la France.
Elle nie notre humanité commune.
Elle nous prépare au pire.
Alors que ce sont, précisément, ces associations, ces mêmes bénévoles, ces mêmes hommes de bonne volonté qui nous alertent aujourd’hui sur Calais et qui agissent depuis des années à panser toutes les misères de France.
Alors que ce sont, précisément, les mêmes hommes et femmes politiques, ou les mêmes discours qui attisent le feu en soufflant sur les braises des divisions mortifères, qui, par leur action ou leur manque d’action politique, accentuent la pauvreté des plus pauvres et sont incapables de lutter efficacement contre le mal logement ou la misère alimentaire.
Aujourd’hui nous avons décidé de prendre la parole tous ensemble pour dire non à la situation réservée à ceux qui sont actuellement les plus démunis de droits en France : les exilés de Calais.
Au nom de nos valeurs communes d’asile et d’universalisme.
Et parce que nous serons plus forts demain pour nous battre ensemble contre les autres formes d’injustices et de misère.
Nous demandons solennellement au gouvernement un large plan d’urgence pour sortir la jungle de Calais de l’indignité dans laquelle elle se trouve.



 Les 800 premiers signataires

Hihi Abdelhamid (médecin), Laure Adler (écrivain), Guillaume Allary (éditeur), Siegrid Alnoy (cinéaste), Marianne Alphant (écrivain), Anne Alvaro (comédienne), Audrey Alwett (écrivain), Marie Amachoukeli (cinéaste), Mathieu Amalric (cinéaste, comédien), Jean-Pierre Améris (cinéaste), Marc Amfreville (professeur, traducteur), Thomas Anargyros (producteur), Claire Angelini (artiste), Christine Angot (écrivain), Philippe Annocque (écrivain), Georges Aperghis (compositeur), Sophia Aram (humoriste), Nathalie Arroyas (professeure), Ariane Ascaride (comédienne), Louis Astre (syndicaliste), Aurel (dessinateur), Nurith Aviv (cinéaste), Nicole Bacharan (historienne), Antoine de Baecque (historien du cinéma), Pénélope Bagieu (auteur de BD), Josianne Balasko (cinéaste, comédienne), Olivier Balez (auteur de BD), Etienne Balibar (philosophe), Jeanne Balibar (comédienne), Dominique Batraville (écrivain), Aziyadé Baudouin-Talec (écrivain), François Bayle (compositeur), Tina Baz (monteuse), Philippe Bazin (artiste), Emmanuelle Béart (comédienne), Alex Beaupain (musicien), Jean-Pierre Beauviala (inventeur d’Aaton), Xavier Beauvois (cinéaste, acteur), Annette Becker (historienne), Bérénice Bejo (actrice), Jérôme Bel (chorégraphe), Yahoutha Belgacem (directrice artistique), Lucas Belvaux (cinéaste), Salah Benacer (photographe), Ted Benoit (scénariste et dessinateur), Emmanuelle Bercot (actrice, cinéaste), Emmanuelle Bernheim (romancière), Didier Bezace (acteur, metteur en scène), Enki Bilal (dessinateur, réalisateur), Benjamin Biolay (musicien), Hervé Bismuth (enseignant-chercheur), Emmanuel Blanchard (enseignant-chercheur, président du réseau Migreurop), Catherine Blangonnet-Auer (revue Images Documentaires), Alain Blondel (Artiste peintre), Christian Boltanski (artiste plasticien), Jacques Bonnaffé (comédien), Irène Bonnaud (metteur en scène), Jacques Bontemps (philosophe), Nicolas Bouchaud (comédien), Patrick Bouffard (médecin), Jean-Marcel Bouguereau (journaliste), Guillaume Brac (cinéaste), Benoît Bradel (metteur en scène), Rachida Brakni (metteur en scène, actrice), Claire Braud (auteur de BD), Marika Bret (DRH à Charlie Hebdo), Patrice Bretaudière (philosophe), Laurence Briaud (monteuse), Geneviève Brisac (écrivain), Claire Brisset (ancienne défenseur des enfants), Michel Broué (mathématicien), Stéphane Braunschweig (metteur en scène), Daniel Buren (plasticien), Rodolphe Burger (musicien), Nadia Butaud (éditrice), Michel Butel (écrivain), Judith Butler (philosophe), Max Cabanes (auteur de BD), Olivier Cadiot (écrivain), Thomas Cailley (cinéaste), Claude Calame (historien), Sophie Calle (artiste plasticienne), Nicole Caligaris (écrivain), Robin Campillo (cinéaste), Robert Cantarella (metteur en scène), Laurent Cantet (cinéaste), Marilyne Canto (comédienne), Eric Cantona (acteur), Yves Cape (directeur de la photographie), Fabien Carniato (sociologue), Caroline Casadesus (artiste lyrique), Pascale Cassagnau (historienne de l’art), Margot Cassila (musicienne), Philippe Caubère (comédien), Antoine Cazé (professeur, traducteur), Clémentine Célarié (comédienne), Sérénade Chafik (militante féministe), Fanny de Chaillé (chorégraphe), Patrick Chamoiseau (écrivain), Caroline Champetier (directrice de la photographie), Christiane Charmasson (psychiatre/ psychanalyste),Pierre Chevalier, Patric Chiha (cinéaste), Nathalie Chouchan (professeur de philosophie), Jean-Marc Chouvel (compositeur), Yves Citton (théoricien), Balthazar Clamoux (philosophe), Sarah Clénet (contrebassiste), Olivier Clochard (universitaire), Roger Cochini (compositeur), Coco (dessinatrice), Olivier Cohen (éditeur), Jean-Louis Comolli (cinéaste), Jean-François Corty (Directeur des Opérations France de Médecins du Monde), Catherine Corsini (cinéaste), Teresa Cremisi (éditrice), Marie Cuillerai (universitaire), Pierre-Louis Curien (chercheur CNRS), Jean-Paul Curnier (philosophe), Catherine Cusset (écrivain), François Cusset (écrivain), Bajram Denis (auteur de BD), Nadia Daam (journaliste), Jean-Pierre Dardenne, Luc Dardenne (cinéastes), Charles Dargent (économiste), Claude Dargent (sociologue), Marie Darrieussecq (écrivain), Jean-Pierre Darroussin (acteur), Kethevane Davrichewy (écrivain), Henri Deluy (poète), Genevieve Delzant (Professeur de Médecine), Anaïs Demoustier (actrice), Claire Denis (cinéaste), Jean-Lous Déotte (professeur émérite), Alex Descas (comédien), Arnaud Desplechin (cinéaste), Linda De Zitter (psychanalyste), Georges Didi-Huberman (philosophe et historien de l’art), Vincent Dieutre (cinéaste), Marcial Di Fonzo Bo (acteur, metteur en scène), Dominique Dimey (chanteuse), Elise Domenach (enseignante), Valérie Donzelli (actrice, cinéaste), Ariane Doublet (cinéaste), Jean Douchet (critique), Valérie Dréville (comédienne), André Dubost (compositeur), Laurence Dumont (Présidente de la Ligue des Droits de L’Homme), Jean-Marie Durand (journaliste), Jean-Pierre Duret (ingénieur du son, cinéaste), Romain Duris (acteur), Pascal Dusapin (compositeur), Jérémie Elkaïm (acteur), Didier Eribon (philosophe), Annie Ernaux (écrivain), Jean-Baptiste Eyraud (militant du DAL), Abbas Fahdel (cinéaste), Didier Fassin (professeur de sciences sociales), Éric Fassin (sociologue), Arlette Farge (historienne, écrivain), Philippe Faucon (cinéaste), Jeanne Favret Saada (psychanalyste), Carole Fékété (photographe), Nadja Fejtö (illustratrice), Cinzia Femia (chef de cuisine), Pascale Ferran (cinéaste), Laurence Ferreira Barbosa (cinéaste), Jacques Ferrier (architecte), Frédéric Fisbach (metteur en scène), Odile Fleury-Zvénigorodsky (professeur, CIMADE), Pierrette Fleutiaux (écrivain), Elisabeth de Fontenay (philosophe), Jean Louis Fournel (universitaire), Dan Franck (écrivain), Alain Françon (metteur en scène), Denis Freyd (producteur), Jean-Michel Frodon (journaliste), Marik Froidefond (maître de conférence), Valéry Gaillard (réalisatrice), Jean-Michel Ganteau (professeur), Anne-Marie Garat (écrivain), Nicole Garcia (cinéaste), Louis Gardel (romancier), Louis Garrel (comédien), Philippe Garrel (cinéaste), Gilles Gaston-Dreyfus (acteur), Costa-Gavras (cinéaste), Michèle Ray Gavras (productrice), Sylvain George (cinéaste), Hyppolite Girardot (acteur), Suzanne Giraud (compositrice), Liliane Giraudon (poète), Raphael Glucksmann (essayiste), Agnès Godard (chef opérateur), Jean-Luc Godard (cinéaste), Fabienne Godet (cinéaste), Jacky Goldberg (journaliste), Myrto Gondicas (traductrice), Yann Gonzalez (cinéaste), Anne Gorouben (peintre), Romain Goupil (cinéaste), Sophie Goupil (productrice), Christine Gozlan (productrice), Pascal Greggory (comédien), Anouk Grinberg (actrice), Emmanuelle Guattari (écrivain), Robert Guédiguian (cinéaste), Roland Gori (psychanalyste), Patrick Guyomard (psychanalyste), Alexandrine Halliez (médecin), Tran Han Hung (cinéaste), Michel Hazavanicius (cinéaste), François Hébel (photographe), Simon Hecquet (artiste chorégraphe), Serge Hefez (psychiatre des hopitaux, psychanaliste), Marie Hénocq (Cimade Bretagne), François Hers (artiste), Hippocampe fou (rappeur), Julien Hirsch (directeur de la photographie), Nancy Huston (écrivaine), Geneviève Jacques (Présidente de la Cimade), Daniel Jacquin (sociologue), Nicolas Jalageas (libraire), Agnès Jaoui (actrice, cinéaste), Vincent Jaury (directeur de la revue Transfuge), Yves Jeuland (réalisateur), François Julien-Laferrière (professeur de droit public), Lenio Kaklea (danseuse, chorégraphe), Christophe Kantcheff (rédacteur en chef de Politis), Marin Karmitz, Nicolas Karmochkine (architecte), Reda Kateb (comédien), Maylis de Kerangal (écrivaine), Colette Kerber (libraire), Christine Kermoal (syndicaliste), Sophie Képès (écrivain), Cédric Klapisch (cinéaste), Helena Klotz (cinéaste), Nicolas Klotz (cinéaste), François Koltès (écrivain), Nathalie Kuperman (écrivaine), Isabelle Lafon (metteur en scène), Geoffroy de Lagasnerie (philosophe), Gaetane Lamarche Vadel (écrivain), Maya Lanfranchi (assistante sociale), Claude Lanzmann (cinéaste), Jeanne Lapoirie (directeur de la photographie), François Lartigue (photographe), Laurie Laufer (psychanalyste), Camille Laurens (écrivain), Raoul Lay (compositeur, chef d’orchestre), Philippe Lazar (chercheur), Safia Lebdi (conseillère Île de France), Bertrand Leclair (écrivain), Michèle Lesbre (écrivain), Olivier Le Cour Grandmaison (universitaire), Laurent Léger (journaliste à Charlie Hebdo), Joanne Leighton (chorégraphe), Pascal Légitimus (acteur, réalisateur), Christian Lehmann (écrivain, médecin), Simon Lemoine (enseignant), Louis-Do de Lencquesaing (comédien), Anne Le Ny (comédienne, réalisatrice), Leo (auteur de BD), Emmanuel Lepage (auteur de BD), Serge Le Péron (cinéaste), Pierre Lescure (président du Festival de Cannes), Pierre Lieutaghi (ethnologue), Sébastien Lifshitz (cinéaste), Thomas Lilti (cinéaste), Virginie Linhart (réalisatrice), Jean-Louis Livi (producteur), Danièle Lochak (professeur de droit public), Hervé Loichemol (metteur en scène), Didier Long (metteur en scène), Edouard Louis (écrivain), Irina Lubtchansky (directrice de la photographie), Marie-Ange Luciani (productrice), Wilfrid Lupano (scénariste de BD), Noémie Lvovsky (actrice, cinéaste), Mademoiselle K (groupe de rock), Haroun Mahamat Saleh (cinéaste), Chowra Makaremi (anthropologue), Laurine Malengreau (historienne de l’art), Renée Malgoire (chef d’orchestre), Rémi Malingrey (dessinateur), Abd al Malik (musicien), Philippe Mangeot (enseignant, militant associatif), Frank Margerin (auteur de BD), Tonie Marshall (cinéaste), Gilles Marchand (cinéaste), Pauline Marchetti (architecte), Maguy Marin (chorégraphe), Alexandros Markeas (compositeur), Jean-Louis Martinelli (metteur en scène), Carole Martinez (écrivaine), Françoise Martres (présidente du Syndicat de la Magistrature), Jean Claude Mas (secrétaire général de la Cimade), Corinne Masiero (comédienne), Laetitia Masson (réalisatrice), Antoine Mathieu (comédien), Claire Mathon (directrice de la photographie), Jacky Matou (médecin), Mehdi Meklat et Badroudine Saïd Abdallah (écrivains), Jean-Luc Menet (maitre de conférence), Macha Méril (actrice), Radu Mihaileanu (cinéaste), Patrick Mille (acteur, réalisateur), Gildas Milin (metteur en scène), Mathilde Monnier (chorégraphe, directrice du Centre National de la Danse), Nadir Mokneche (cinéaste), Dominik Moll (cinéaste), Marie-José Mondzain (philosophe), Isabelle Monnin (écrivaine), Gérard Mordillat (cinéaste, écrivain), Jeanne Moreau (actrice), Yolande Moreau (actrice, réalisatrice), Susie Morgenstern (écrivain), Edgar Morin (sociologue, philosophe), Francoise Moscovitz (écrivain), Yann Moulier Boutang (économiste, essayiste), Yoann Moulin (claveciniste), Richard Moyon (militant du RESF), Veronique Nahoum Grappe (anthropologue), Jean-Luc Nancy (philosophe), Émilie Née (chercheur), Toni Negri (philosophe), Marie Nimier (romancière), Gaspar Noë (cinéaste), Stanislas Nordey (metteur en scène), Gandolfo Notaro (chef de cuisine), Gilbert Nouno (compositeur), Anna Novion (cinéaste), Francoise Nyssen (éditrice Actes Sud), Gaelle Obiégly (romancière), Maurice Olender (historien), François Olislaeger (dessinateur), Véronique Olmi (écrivain), Valérie Osouf (cinéaste), Orlan (artiste plasticienne), Paul Otchakovsky-Laurens (éditeur POL), Sophie Ott (brocanteuse), François Ozon (réalisateur), Yves Pagès (éditeur), Rithy Panh (réalisateur), Rosa Parlato (musicienne), Sonia Pavlik (auteur), Claire Payement (compositeur), Marc Paquien (metteur en scène), Benoît Peeters (auteur), Charles Pépin (philosophe), Elisabeth Perceval (scénariste), Thierry de Peretti (cinéaste), Élisabeth Perez (productrice), Sylvie Perrin (céramiste), Eric Pessan (écrivain), Gerard Pesson (compositeur), Elise Pestre (maitre de conférences), Nicolas Philibert (cinéaste), Sylvie Pialat (productrice), Pamela Pianezza (photographe), Patrick Picard (syndicaliste), Eric Piel (psychiatre), Guillaume Pigeard de Gurbert (philosophe), Ernest Pignon-Ernest (artisteplasticien), Manon Pignot (historienne), Thomas Piketty (économiste), Michel Plon (psychanalyste), Bruno Podalydès (cinéaste), Denis Podalydès (comédien), Clémence Poésy (actrice), Mathieu Potte-Bonneville (philosophe), Olivier Poubelle (directeur du théâtre des Bouffes du Nord), Marilyne Poulain (syndicaliste), Joana Preiss (actrice), Lorraine Prigent (artiste lyrique), Sabine Prokhoris (psychanalyste), Jeanne Puchol (auteur de BD), Hélène Puiseux (directeur d’études), Barlen Pyamootoo (écrivain), Anne Querrien (sociologue), Philippe Quesne (metteur en scène), Katell Quillévéré (cinéaste), Leyla-Claire Rabih (metteur en scène), Jacques Rancière (philosophe), Christophe Rauck (metteur en scène), Jean-Patrick Razon (ethnologue), Claire Renard (compositeur), Jacques-Remy Girerd (réalisateur de films d’animation), Maxence Revault d’Allonnes (professeur), Judith Revel (philosophe), Mathieu Riboulet (écrivain), Nicolas Roméas (directeur de la revue Cassandre/Horschamp), Martin de Roquefeuil (vice-président de l’ONG Pour un Sourire d’Enfant), Christine Roquet (universitaire), Patrick Rotman (documentariste), Vincent Rottiers (comédien), Jean Rousseau (président d’Emmaüs International), Christophe Ruggia (cinéaste), Agnès de Sacy (scénariste), Numa Sadoul (metteur en scène, auteur), Céline Sallette (comédienne), Isabelle Saint-Saëns (militante associative), Pierre Salvadori (cinéaste), Lydie Salvayre (écrivain), Tiphaine Samoyault (écrivain), Sanseverino (chanteur), Ana Sardinha (universitaire), Riad Sattouf (auteur de BD, cinéaste), Emmanuelle Scali (psychologue), François Scali (architecte), Vincent Scali (plasticien), François Schuiten (dessinateur), André Serre-Milan (compositeur), Florence Seyvos (écrivain), Céline Sciamma (cinéaste), Anne Serre (écrivain), Joan Sfar (auteur de BD), Jean-Pierre Siméon (poète), Abderrahmane Sissako (cinéaste), Françoise Sivignon (présidente de Médecins du Monde), Serge Slama (juriste), Patrick Sobelman (producteur), Makis Solomos (musicologue), Tania Sollogoub (économiste), Isabelle Sorente (écrivain), Olivier Steiner (écrivain), Omar Sy (comédien), Mélodie Tabita (vidéaste), François Tanguy (metteur en scène), Laurence Tardieu (écrivain), Bertrand Tavernier (cinéaste), Nadia Tazi (philosophe), Jenny Teng (cinéaste), Irène Théry (sociologue), Sébastien Thiéry (politologue), Danièle Thompson (cinéaste), Lefred Thouron (dessinateur), Serge Toubiana (directeur de la Cinémathèque française), Enzo Traverso (historien), Muriel Trèves (psychiatre, psychanalyste), Jean-Louis Tripp (auteur de BD), Lewis Trondheim (auteur de BD), Benoît Turquety (enseignant), Gaspard Ulliel (acteur), Dominique Valadié (comédienne), Vincent Van Damme (dessinateur), Fred Vargas (écrivain), Marie Vayssière (metteur en scène), Monique Veaute (directrice du Palazzo Grassi), Anne Vellay (médecin), Marion Vernoux (réalisatrice), François Verret (chorégraphe), Karin Viard (comédienne), Rémy Viard (architecte), Bernard de Vienne (compositeur), Delphine de Vigan (romancière), Eric Vigner (metteur en scène), Philippe Vilain (écrivain), Fabrice Villard (écrivain), Hélène Vincent (actrice), Sigolène Vinson (journaliste à Charlie Hebdo), Jean-Jacques Viton (poète), Caroline de Vivaise (costumière), Michel Volkovitch (traducteur), Antoine Volodine (écrivain), Christiane Vollaire (philosophe), Lise Wajeman (enseignant-chercheur), Sophie Walmish (directrice de recherche au CNRS), Jacques Walter (pasteur), Régis Wargnier (cinéaste), Sonia Wieder-Atherton (violoncelliste), Martin Winckler (médecin, écrivain), Bruno Wolkowitch (acteur), Youssoupha (rappeur), Dork Zabunyan (professeur), Paule Zadjermann (cinéaste), Caroline Zéau (maitre de conférence), Malik Zidi (acteur), Rebecca Zlotowski (cinéaste)…





jeudi, octobre 15, 2015

507_ BOUALEM SANSAL à la Médiathèque de Montpellier



                                                   Vidéo Boualem Sansal_ Montpellier
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2° vidéo Sansal à Montpellier
La salle des rencontres de la médiathèque Emile Zola de Montpellier était comble hier mercredi 14 octobre. 150 personnes dans la salle en question, et des dizaines dans une autre salle, attenante. Boualem Sansal y était invité pour parler de son dernier roman-missile « 2084 : la fin du monde ». Les questions portant sur la littérature n’occupèrent pas hélas le temps espéré. Les trois-quarts du temps portèrent sur l’Islam et sa compatibilité avec la démocratie, la place des femmes, quelle place à l’Islam de France, l’antisémitisme… et beaucoup de raccourcis et d'objectifs non avoués surtout du modérateur Michaël Lancu.
 

Je complèterai cet article plus tard
Une recension du roman "2084" suivra
Ainsi qu'une 3° vidéo complète

 

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