Vendredi 23 mars 2007
Je suis arrivé à Paris tard dans la soirée du mercredi. Hier jeudi j’ai profité du temps libre pour retrouver mes places et espaces préférés. Comme aujourd’hui il a fait froid.
Je me suis jeté dans la ville tentaculaire dont je me languis les avenues, les odeurs si particulières lorsque en passant devant des bouches de métro on prend en pleine face des senteurs indescriptibles voguant entre chlorophyle, tabac, papier usé et que sais-je encore. J’ai pris le métro à la station Basilique de Saint Denis pour en sortir à Montparnasse Bienvenüe. J’ai déambulé depuis, de rues en avenues, d’avenues en boulevards, de boulevards en places jusqu’à la place justement du Chatelet où j’ai attendu mon ami Ma. qui est arrivé avec un retard, justifié comme à chaque fois… Nous avons longé l’avenue de Rivoli jusqu’à la place de la Concorde puis avons pris à droite l’avenue de l’Opéra puis encore quelques avenues et rues pour enfin atteindre Saint Lazare où nous attendait notre ami commun Ha. Palabres durant des heures. Je n’ai pas rêvé.
Il est 10 heures. Mes jambes sont lourdes et pour cause. Comme hier il fait froid donc, comme hier je m’installe devant un des nombreux PC d’un Cybercafé sis sur l’avenue Gabriel Péri où je loge. Il pleut dans le cœur de Saint-Denis comme il flotte sur Paris. 11 heures 45, Salon du Livre. Il n’y a pas encore la foule des week-ends et pour cause, nous ne sommes pas encore en fin de semaine. La première visite que je m’impose je l’effectue au stand Algérie. Après celui de la presse bien sûr. Là je m’y fais établir un badge et récupère un book-presse. Je devrais dire stands au pluriel pour l’Algérie car cette année et c’est tout à fait nouveau (par mésentente ou par choix ?) il y a plusieurs petits emplacements posés côte à côte sur deux angles d’ailes, L et H. Sont présentes les éditions Chihab, Enag, Enap, Casbah d’un côté,Tell, Média Plus, Alpha, Dar El Gharb, Apic etc. de l’autre. De nombreux ouvrages, essais et romans, livres d’Art et d’Histoire, sont posés sur les tables. Des éternels Kateb Yacine and C° aux écritures plus fraiches. Certains titres sont mis en avant ainsi « Pousse avec eux » de Hakim Laalam qui s’étale sur plus d’un mètre carré. Il n’y en a que pour lui, mais nous ne savons, on ne nous dit rien sur l’auteur ni l’écrit. Il y a « Je t’offrirai une gazelle » de Malek Haddad, « Le développement durable, un pari gagnant » de Chantal Bonnet, « Kan ya Makan… » de Zineb Labidi « Guide d’Algérie » de Marc Cotte, « L’arbiraire » de Bachir Hadj Ali, « Les exilés du matin » de Hakim Skif, « Le temps d’une halte » de Abdelaziz Ferrah, « Les écrivains Algériens » (‘bizarement’ j’y figure) de Achour Cheurfi, « La cuisine moderne algérienne » de Mokhtaria Rezki. Une cuisine donc. De nombreuses séances de dédicaces sont prévues. Aujourd’hui, Chantal Bonnet, Marc Cotte, Abdelaziz Ferrah, Zineb Labidi. Jouxtent les stands marocain, tunisien et haïtien.
Sur un autre stand d’éditions françaises, à peine visible, très discret, le chikh à son âge fait mine de lire un quotidien. J’ai nommé notre ami et respectable Salim Bachi. Il me remercie pour notre dernier entretien et me donne quelques explications sur ses « Douze contes de minuit ». Je les porterai sur mon blog (ses explications).
Je suis arrivé à Paris tard dans la soirée du mercredi. Hier jeudi j’ai profité du temps libre pour retrouver mes places et espaces préférés. Comme aujourd’hui il a fait froid.
Je me suis jeté dans la ville tentaculaire dont je me languis les avenues, les odeurs si particulières lorsque en passant devant des bouches de métro on prend en pleine face des senteurs indescriptibles voguant entre chlorophyle, tabac, papier usé et que sais-je encore. J’ai pris le métro à la station Basilique de Saint Denis pour en sortir à Montparnasse Bienvenüe. J’ai déambulé depuis, de rues en avenues, d’avenues en boulevards, de boulevards en places jusqu’à la place justement du Chatelet où j’ai attendu mon ami Ma. qui est arrivé avec un retard, justifié comme à chaque fois… Nous avons longé l’avenue de Rivoli jusqu’à la place de la Concorde puis avons pris à droite l’avenue de l’Opéra puis encore quelques avenues et rues pour enfin atteindre Saint Lazare où nous attendait notre ami commun Ha. Palabres durant des heures. Je n’ai pas rêvé.
Il est 10 heures. Mes jambes sont lourdes et pour cause. Comme hier il fait froid donc, comme hier je m’installe devant un des nombreux PC d’un Cybercafé sis sur l’avenue Gabriel Péri où je loge. Il pleut dans le cœur de Saint-Denis comme il flotte sur Paris. 11 heures 45, Salon du Livre. Il n’y a pas encore la foule des week-ends et pour cause, nous ne sommes pas encore en fin de semaine. La première visite que je m’impose je l’effectue au stand Algérie. Après celui de la presse bien sûr. Là je m’y fais établir un badge et récupère un book-presse. Je devrais dire stands au pluriel pour l’Algérie car cette année et c’est tout à fait nouveau (par mésentente ou par choix ?) il y a plusieurs petits emplacements posés côte à côte sur deux angles d’ailes, L et H. Sont présentes les éditions Chihab, Enag, Enap, Casbah d’un côté,Tell, Média Plus, Alpha, Dar El Gharb, Apic etc. de l’autre. De nombreux ouvrages, essais et romans, livres d’Art et d’Histoire, sont posés sur les tables. Des éternels Kateb Yacine and C° aux écritures plus fraiches. Certains titres sont mis en avant ainsi « Pousse avec eux » de Hakim Laalam qui s’étale sur plus d’un mètre carré. Il n’y en a que pour lui, mais nous ne savons, on ne nous dit rien sur l’auteur ni l’écrit. Il y a « Je t’offrirai une gazelle » de Malek Haddad, « Le développement durable, un pari gagnant » de Chantal Bonnet, « Kan ya Makan… » de Zineb Labidi « Guide d’Algérie » de Marc Cotte, « L’arbiraire » de Bachir Hadj Ali, « Les exilés du matin » de Hakim Skif, « Le temps d’une halte » de Abdelaziz Ferrah, « Les écrivains Algériens » (‘bizarement’ j’y figure) de Achour Cheurfi, « La cuisine moderne algérienne » de Mokhtaria Rezki. Une cuisine donc. De nombreuses séances de dédicaces sont prévues. Aujourd’hui, Chantal Bonnet, Marc Cotte, Abdelaziz Ferrah, Zineb Labidi. Jouxtent les stands marocain, tunisien et haïtien.
Sur un autre stand d’éditions françaises, à peine visible, très discret, le chikh à son âge fait mine de lire un quotidien. J’ai nommé notre ami et respectable Salim Bachi. Il me remercie pour notre dernier entretien et me donne quelques explications sur ses « Douze contes de minuit ». Je les porterai sur mon blog (ses explications).
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