L’Institut
français d’Oran avait programmé un concert pour sa soirée du mercredi 4
juillet. Je m’y suis rendu… Assez tôt
pour reprendre mes esprits à la suite de la virée sur la côte ouest et assister à un
autre spectacle, un double spectacle en amont dans la cour pas ombragée de
l’Institut. Il est vrai que sa superficie est très réduite lorsque l’on songe à
celle de l’Institut français d’Istanbul (photo).
Institut français dIstanbul |
Le premier spectacle est animé
par une maman chat et ses cinq ou sept nains toujours affamés.
Le second par un groupe de jeunes
artistes plasticiens, armés de bombes de peinture et grandes feuilles
cartonnées, très actifs dans la cour et probablement ailleurs. « Vous
pouvez avancer » dit le directeur du centre, Monsieur Alain Ramette. La
petite salle des spectacles contient près de quatre vingt places. Tous ne sont
pas occupés. Près de la moitié ou un peu plus, allez, 55 personnes.
Le
spectacle commence avec un jeune oranais. Il se présente « je m’appelle
Reda, poète clochard, je suis gardien de parking… » et il déclame un texte
sur sa condition et celle de tout jeune en définitive, l’oisiveté, l’absence
d’horizon... Je vous suggère cette page pour mieux le connaître : https://www.youtube.com/watch?v=s7SRN2p8sRc
Succède
à Réda une autre jeune, musicienne dont je n’ai, hélas, pas retenu le nom et
qui chante « Fatma » c’est sympathique et le talent ne demande qu’à
éclore.
Puis
arrive l’attendu FAFAPUNK. L’assistance (une cinquantaine de personnes), à
entendre ses « Ouais ! » « Waouh ! »… semble le
connaître.Fafapunk
L’affiche
du centre le présente ainsi :
J'y suis resté plus d'une demi-heure. Vraiment sympa.
Lire pour plus d'informations, cette page:
et celle-ci :
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