Cet
homme s’apprêtant à pénétrer dans une grange, la sienne dans Rowan Oak (1),
est William Faulkner, l’un des plus illustres écrivains américains. Lui, préférait se dire « fermier » et aimait qu’on se souvienne de lui comme un homme « qui a écrit des livres et qui est mort », son souhait d’épitaphe. Il est mort le 6 juillet 1962 à la suite d’une chute de cheval (il en subi plusieurs !)
est William Faulkner, l’un des plus illustres écrivains américains. Lui, préférait se dire « fermier » et aimait qu’on se souvienne de lui comme un homme « qui a écrit des livres et qui est mort », son souhait d’épitaphe. Il est mort le 6 juillet 1962 à la suite d’une chute de cheval (il en subi plusieurs !)
Je
pense à William Faulkner en ce mois de septembre, il aurait eu 121 ans !
et en pensant à lui je pense à la journée commémoration du centenaire de sa
naissance qui lui fut réservée au Sénat, sous le haut patronage du Président J.
Chirac. Je contactai A.G et H.G. du journal algérien La Tribune qui acceptèrent
que j’en fasse un papier (publié le 30). J’avais fait le choix de ce journal,
car je le trouvais parmi les moins violents (les va-t-en guerre étaient les
plus nombreux). Bref. Ce jour-là, nous étions un jeudi et il ne faisait pas
mauvais. Gris.
La
salle Médicis, une des nombreuses pièces du Palais du Luxembourg était ce
jour-là comble. Des gens étaient venus d’un peu partout d’Europe et des Amériques :
Carlos Fuentes, Michel Gresset, l’ambassadeur Christopher Snow, Juan José Saar
(Argentine), Richard Ford écrivain du Mississippi (qui crie contre des
photographes qui le perturbent),
Pierre Bergougnoux, JMG Le Clezio, Edouard Glissant (« je me présente,
Edouard Glissant… »), Nicole Moulinoux (présidente de la fondation WF),
madame Juppé… Chacun tritura
le micro autant qu’il put avec
plus ou moins de succès.
A la fin de l’hommage
(la pause désaltération – Champagne –
dura
plus d’une heure !), une plaque fut dévoilée par le président de
l’Université de Rennes2, le maire de Jackson (Mississippi) et la First
lady du
Mississippi, sur le mur du 26 de la rue Servandoni (à deux pas
du Palais) où
vécut William Faulkner :
ICI A VECU
A L'AUTOMNE 1925
WILLIAM FAULKNER
1897 – 1962
ECRIVAIN AMERICAIN
PRIX NOBEL DE
LITTERATURE 1949
______
Voici YOKNAPATAWPHA _ Le territoire "timbre-poste" creuset de toute l’œuvre de l'auteur.
VOICI MAINTENANT L'ARTICLE DE LA TRIBUNE
La Tribune Mardi 30 septembre 1997
A
L’OCCASION DU CENTENAIRE DE L’AUTEUR DE TANDIS QUE J’AGONISE, DES
DIZAINES DE SPECIALISTES SE SONT RENCONTRES DANS LA CAPITALE FRANCAISE POUR
SALUER SON GENIE
Paris rend hommage à William Faulkner
Deux
cents personnes dont des dizaines venues du Mississipi étaient présentes lors
du dévoilement d’une plaque commémorative à la rue Servandoni, lieu où il
entama ses deux premiers romans Soldiers Pay
et Elmer en 1925.
Mardi 30 septembre 1997
Par
Ahmed Hanifi
LE MONDE des lettres célèbre en ce
mois de septembre le centenaire de William Faulkner. Le soir du 25 septembre à
Paris, une plaque commémorative, posée une semaine auparavant, est dévoilée à
l'entrée du 26, rue Servandoni où l'écrivain vécut durant le second semestre de
l'année 1925, année durant laquelle il entama ses deux premiers romans Soldiers
Pay (Monnaie de singe) et Elmer Le premier fut édité dans
l'indifférence en février 1926, le deuxième, posthume, en 1983.
Deux cents personnes ont assisté à
l’événement dont des dizaines, parmi lesquelles des écrivains, venues du
Mississipi. William Cuthbert Faulkner est né le 25 septembre 1897 à New Albany
à quelques kilomètres au nord d'Oxford (Mississipi). Les Etats Unis entrent
dans « l'âge doré », le progrès technique s'accélère. La tentative de sécession
des onze Etats confédérés du Sud se veut lointaine (1865). L'injustice
l'inégalité et l'oppression des Noirs n'ont pas pour autant disparu.
Un Sud pris en tenailles entre ses
nativistes et le Nord moderne. « Ce pays tout entier, le Sud tout entier,
est maudit, et nous tous qui en sommes issus, (…), nous sommes sous le coup de
la malédiction » (1). Cette malédiction, dira Faulkner en avril 1957 « c'est
l'esclavage, qui est une condition intolérable ( ... ) le Sud doit extirper ce
mal » (2).
C'est en 1840 que la famille
Falkner arrive dans le Mississipi en provenance du Tennessee, menée par William
Clark Falkner arrière-grand-père du romancier. Celui-ci mène une vie agitée. Il
est « souvent persécuté et pourchassé comme une bête sauvage » peut-on
lire dans son roman « The White rose of Memphis » paru en 1881. Il fut à
l'origine d'une compagnie de chemins de fer. En 1889, il est abattu par son
ancien associé et adversaire politique malchanceux. Nous retrouvons cet aïeul
sous les traits de John Sartoris. Bien que ruinés après la guerre, les Falkner
n'étaient pas pauvres « Mais nous ne gaspillions rien » affirme John
Wesley Thomson III Falkner, frère de l'auteur; lui-même romancier. (Murry,
autre frère de William Faulkner sera aussi l'auteur d'un livre de souvenirs
familiaux). Le père était administrateur du Lyceum de l'université du
Mississipi, la mère (Maud Butter) était peintre. A sa mort en octobre 1960 elle
laisse près de six cents (600) toiles.
Un jour de 1921 lors d’une réunion
d'écrivains à La Nouvelle Orléans (Louisiane) on débattait de William
Shakespeare lorsque « on vit se lever un petit homme que personne ou presque
dans l'assistance ne connaissait et qui déclara calmement: " je pourrais
très bien écrire une pièce comme Hamlet si je voulais". Ayant ainsi parlé,
il se rassit et n'ouvrit plus la bouche de toute la soirée » (3). C'était William Faulkner,
Ce « petit homme (1,65
mètre d'après mon estimation), (…) triste et crispé » Comme le décrit plus
tard Malcom Cowley (Octobre 1948) entrepris à vingt-deux ans sa première œuvre
littéraire connue, l'Après-midi d'un faune, (titre original). Le jeune
Falkner - il décide désormais de se faire appeler « Faulkner » - ne se doutait
pas que, quelques décennies plus tard, il produirait plus d'une vingtaine de
romans, une centaine de nouvelles et plus encore de poèmes. Une oeuvre
consacrée en 1950 par le prix Nobel de littérature qu'il refusa dans un premier
temps.
A l'université où il s'inscrit
comme « étudiant spécial » il ne s'attarde guère. (septembre 1919 à novembre
1920). Il réussit néanmoins à faire paraître quelques poèmes dans le journal
des étudiants. Il « erre » durant plusieurs années. La chance ne lui sourit
guère. Ses échecs affectifs et financiers sont nombreux. Il occupe tour à tour
les emplois suivants : aide-comptable, employé de banque, de librairie, de
poste avec une idée fixe, une seule, écrire. Ainsi, c’est dans la centrale
électrique où il est employé de nuit qu'en six semaines (d'octobre à décembre
1929) il rédige Tandis que j'agonise. Toute l’œuvre de Faulkner
s'enracine dans le Sud. A Jefferson. « Jefferson, superficie 2400 milles
carrés », du comté mythique de Yoknapatawpha dont il est l’ «unique
possesseur et propriétaire » précise-t-il dans Absaon ! Absalon !
« J'ai découvert que mon propre petit timbre-poste de terre natale valait la
peine de l'écriture » dit-il simplement (4).
Les journaux américains commencent
à s'intéresser à lui en novembre 1931. Il découvre qu'il est le « caïd » de la
littérature américaine. Quelques mois plus tôt, en février, parut Sanctuaire.
« Il fut conçu délibérément dans le but de faire de l'argent ». Ce roman
dont le contenu est pourtant bien en deçà de la première version fit scandale. Sanctuaire,
cette « chambre d'horreurs » fut son premier succès commercial. Quoique
mitigé, l'accueil de ce roman fit sortir de l'ombre et de l’isolement Faulkner.
En trois mois, il s'en est vendu plus de sept mille exemplaires. C'est son
sixième livre depuis Soidiers Pay (monnaie de singe) en février 1925. Il
a trente-trois ans, Sanctuaire est un « roman d'atmosphère policière
sans policiers, de gang aux gangsters crasseux, parfois lâches, sans puissance
(…). C’est l'intrusion de la tragédie grecque dans le roman policier »
préface élogieusement André Malraux en novembre 1933.
Pour William Faulkner l'écriture
est le seul passage obligé, le lieu unique de toutes ses vérités. L'écriture
s'impose à lui. « Il écrit non pas ce qu'il veut, mais ce qu'il doit écrire,
qu'il le veuille ou non » (Malcom Cowley). Une écriture-compensation, où « l'épaisseur
des mots » bouscule le monde du réel auquel il la substitue.
« Il me semblait qu'il (Anse) s'était joué
de moi, que, caché derrière un mot comme derrière un écran de, papier, il
m'avait, à travers, frappée dans le dos » se convainc Addie dans son
monologue (5), rejoignant ainsi l'auteur. Pour Marc Saporta il semble bien que
la littérature fut pour William Faulkner « le remède de son mal à l'âme, (…)
une autre façon de triompher du monde» (6).
Son écriture est spectacle « angoissée et angoissante ».
Un spectacle peuplé d'homuncules de lieux et d'objets « ces formes ombreuses
mais ingénieuses au travail desquelles je devais de pouvoir réaffirmer les
impulsions de mon propre ego dans le monde réel mais dénué de stabilité » (7),
Un spectacle dense tourbillonnant,
enivrant auquel Faulkner convie les lecteurs à participer. Ainsi sommes-nous
incités à lire et relire autrement; agencer les espaces, résoudre les énigmes,
compléter les histoires en apparence désarticulées de ces « individus
exceptionnels ». Parfois même nous nous laissons aller jusqu'à pénétrer
dans la narration, à partager les souffrances/joies - nos souffrances/joies.
Comme dans Tandis que j'agonise. Puis, il nous faut consulter et
corriger notre agenda mental, mémoire des faits. Revenir plusieurs pages en
arrière. Vérifier des lieux, des situations, des (pro) noms; tenter une
généalogie; démonter les pièges et autres difficultés, prendre des voies
inattendues et inconnues où souvent le passé se conjugue au présent. Alors
seulement l'écheveau se démêle. Le monde obscur s'illumine. Cela est
particulièrement remarquable dans Absalon! Absalon!. Ce chef-d’œuvre fut
composé en dix mois entre mars 1935 et janvier 1936, dont une partie dans la
douleur de la disparition tragique de son jeune frère. Absalon ! c'est «
l'histoire d'un homme qui voulait un fils par orgueil, qui en eut trop - et
ceux-ci le détruisirent ». (lettre à son éditeur Harrison Smith, août
1934). Alors seulement donc le monde s'illumine. Un monde sur lequel trône
l'auteur « inaccessible et serein au-dessus de ce microcosme des
passions, des espoirs et des malheurs de l'homme, ambitions, terreurs,
appétits, courage, abnégations, pitié, honneur, orgueil et péchés, tout cela
lié pêle-mêle en un faisceau précaire, retenu par la trame et par la chaîne du
frêle réseau de fer de sa capacité, mais tout cela voué aussi à la réalisation
de ses rêves » (9). Un monde qui, page après page, a-t-on écrit, défie le
bon sens. Invariablement les thèmes de la guerre (la décadence), la haine, le
Sud… jaillissent, récurrents. Le passé s'incruste dans le présent. Nous
touchons ici la sève de la technique faulknérienne. Par intermittence, le passé
s'impose au présent comme pour signifier une fin improbable ou plutôt un retour
inéluctable. Le passé comme échappatoire unique face au temps qui se fige. « Je
me suis dirigé vers la commode et j'ai pris la montre toujours à l'envers »
dit Quentin « j'en ai frappé le verre sur l'angle de la commode et j'ai mis
les fragments dans ma main et je les ai posés dans le cendrier et, tordant les
aiguilles, je les ai arrachées et je les ai posées dans le cendrier également»
(9). Sur la signification qu'il donne à l'emploi des temps Faulkner répond : « Le
temps n'est pas un état fixe, (...). Le temps est en quelque sorte la somme des
intelligences combinées de tous les hommes qui respirent en ce moment »
(2).
Dans la préface à le Bruit et
la fureur. M. E. Coindreau écrit qu'à l'origine William Faulkner, selon ses
propres mots, avait « songé qu'il serait intéressant d'imaginer les pensées
d'un groupe d'enfants, le jour de l'enterrement de leur grand-mère, dont on
leur a caché la mort (…) ». Un roman difficile d'accès. Un roman où sans
autre prétention, le romancier « se contente d'ouvrir les portes de l'enfer.
Il ne force personne à l'accompagner » (8). Un torrent de haine. (Lire
particulièrement le troisième chapitre).
Le Bruit et la fureur « est une
expérience unique, inoubliable (…). Tandis que j'agonise et Lumière
d'août furent écrits comme à distance, aisément, chaque mot tombant à sa place
de main de maître en somme » (10). Quelques années et publications plus
tard, en août 1970 près de deux mille pages de manuscrits sont découvertes dans
la propriété de William Faulkner. Elles sont cédées en 1982 à l'université du
Mississipi. Une dizaine de films ou téléfilms de qualité inégale furent adaptés
des romans de Faulkner. Citons:
The Story of Temple Dark, The Sound and the Fury, The Reivers… Le romancier fut
également co-scénariste du célèbre Howard Hawks (The Road to Glory, Shave Ship,
To Have and have not ....). Son nom ne figurait parfois pas dans les génériques.
Les longs rapports entre William Faulkner et l'industrie du cinéma furent assez
douloureux pour l'écrivain.. Ce fut parfois un cauchemar. « J'acceptais de
travailler dans "les mines de sel" (...) parce que j'étais sans le
sou ». Un travail ingrat et difficile pour un salaire humiliant. Cet ange
de l'écrit eut en revanche sur la question raciale une attitude pour le moins
équivoque bien qu'elle évolua favorablement dès le début des années quarante -
comme ses interventions d'avril 1957 (lire ci-dessus) - ou celle du 20 février
1958: Un mot aux Virginiens. De même, les repères (signaux) qu'il égrène ça et
là dans ses romans (Dilsey!) sont insignifiants nous semble-t-il. Les
remarques qu'introduit à cet égard Edouard Glissant dans Faulkner Mississipi
sont édifiantes.
Aux premières heures du 6 juillet
1962, William Faulkner meurt à l'hôpital de Byhalia (Mississipi), à une cinquantaine
de kilomètres au nord ouest d’ Oxford, emporté par le Jack Daniel (11). Il est
enterré dans sa demeure Roan Oak au centre d'un Sud qu'il n'a jamais méprisé.
« Je ne le hais pas »,
dit-il. « Je ne le hais pas », pensa-t-il, haletant dans l'air
glacé, dans l'implacable obscurité de la Nouvelle-Angleterre. « Non. Non ! Je ne le hais pas ! Je
ne le hais pas ! » (12).
William Faulkner aurait
aujourd'hui cent ans. Il a beaucoup apporté - et apporte encore - à l'écriture
romanesque. Des milliers d'articles lui sont consacrés annuellement. De
nombreux écrivains se revendiquent de William Faulkner. Relisons Kateb Yacine.
A.H
1- Descends, Moïse.
Gallimard. 1996, page 233,
2: W. Faulkner: Faulkner à
l'université. Gallimard. 1964.
3 : Rapporté par Jean Roubérol : Faulkner,
cet élisabéthain. Revue littéraire Europe, Janvier - Février 1992.
4- Faulkner. Oeuvres
romanesques, volume l, Gallimard, la Pléiade. 1977 page 1079.
5: Tandis que j’agonise,
Gallimard. 1996, page 166
6: Marc Saporta : La vie et
l’œuvre, in L'Arc no 84/85: William Faulkner
7: Notice de M. Gresset in: Faulkner,
oeuvres romanesques, Gallimard, la Pléiade. 1977, page 1087. ,
8: Le Bruit et la fureur. Gallimard. 1996.
9 - The Town. Cité par Monique Nathan « William Faulkner par
lui-même ». Ed: Seuil, 1963, page 6.
10- WF . As Lay I Daying, Light in August : A. Bleikasten,
F. Pitavy, M. Gresset, ed Armand Collins 1970. Page 18.
11- Boisson alcoolique. Faulkner
était connu comme un grand buveur d'alcool (comme son père et plusieurs autres
membres de sa famille), parfois jusqu'à perdre connaissance. Il suivit
plusieurs cures de désintoxication à l'hôpital de Byhalia. Officiellement le
décès est imputé à un « oedème pulmonaire ».
12: Quentin dans Absalon !
Absalon ! edition Gallimard. 1997, page 411.
Autres sources:
- Joseph Blotner: Faulkner a
Bibliography, volumes I et II. Random
House, NewYork. 1974.
- Fondation William Faulkner,
université de Rennes Il.
Ahmed
HANIFI,
Paris - septembre 1997
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William Faulkner film - YouTube_ oct 2017 Merci Super Sam
William Faulkner - DEFI 30 JOURS 30 LIVRES
#05 WILLIAM FAULKNER- merci François BON dec 2017_ - YouTube
Bande d'annonce du film "Tandis que j'agonise" (As I Lay Dying) de WILLIAM FAULKNER
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PREMIERES PAGES DE "LE BRUIT ET LA FUREUR"
c
PREFACE. de Maurice Edgard COINDREAU
lllisible ci-dessous: page de gauche: la composition de The Sound and the Fury est
page de droite: une plongée brusque dans le passé, au jour où, alors qu'il
-------- LE ROMAN---------------
etc...
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CONSULTER ÉCOUTER LIRE... ABSOLUMENT
1- https://voyages.michelin.fr/amerique-du-nord/etats-unis/mississippi/oxford/rowan-oak-maison-de-william-faulkner
Ecoutez cette rediffusion en août 2016, de « une vie
une œuvre » de France Culture.
Mais aussi :
du lundi au jeudi de 15h à 16h
1.4 : devenir Faulkner
https://www.franceculture.fr/emissions/la-compagnie-des-auteurs/william-faulkner-14-devenir-faulkner
2.4 : la mine d’or de Faulkner
3.4 : Faulkner anthropologue
4.4 : la réalité entre en littérature
26 rue Servandoni |
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Bonjour,
RépondreSupprimerMerci infiniment d'avoir pris la peine -dans le sens profond du terme- de vous intéresser à notre cher Bill. Vous avez su évoquer de très beaux souvenirs et moments intenses vécus lors du centenaire Faulkner. Tout simplement merci,
Nicole Moulinoux