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mardi, février 26, 2008

70- Lundi 25 Paris Marseille

Le matin je fais un dernier tour dans Paris. Il y a peu de monde devant les consulats des Etats-Unis et du Canada. Je m’y renseigne donc facilement. Il fait beau et froid. A 13 heures mon ami N. et moi déjeunons sur la place des fêtes. A 15h16 je prends le Tgv du retour. Entre jeudi et aujourd’hui j’ai dû marcher (au bas mot) 30 kms !

dimanche, février 24, 2008

69- Dimanche 24 fevrier Le Maghreb des livres suite

Dimanche matin à Saint Denis. Il va être 11 heures. Le ciel est dégagé, le thermomètre doit afficher autour de 15°. Hier j'ai acheté le dernier de Amin Zaoui "Festin de mensonges" et celui de Sofiane Hadjadj "Un si parfait jardin" en collaboration avec Michel Denancé pour les photos. Aïssa Kadri me dit qu'il sera présent dimanche après-midi. Je suis au salon. A l'une des tables posées le long du mur de la grande salle d'exposition Salim Bachi dédicace son formidable "Tuez-les tous!" (lire plus bas ma recension). Il m'informe qu'il a remis à son éditeur un "ouvrage historique", celui-ci prévoit de l'éditer à l'automne prochain (en vue des prix?) Je lui dis que nous l'attendrons avec impatience. J'assiste à une table ronde autour de Djamal-Eddine Bencheikh (décédé le 8 août 2005) avec son fils Ilf, son épouse Claudine ainsi que Benjamin Stora (Je donnerai dans quelques jours ici même quelques extraits). A 15h30 suit un autre café littéraire autour cette fois de la figure emblématique de l'Emir Abdelkader dont on célèbre en ce mois/ en cette année le bicentenaire de la naissance (né le 21 février 1808 à Mascara - mort le 24 mai 1883 en Syrie). Sont présents pour en discuter Wassiny Laradj (Le livre de l'Emir) et Martine Le Coz (Le Jardin d'Orient) Entre temps je rencontre une amie perdue de vue depuis... Nadia B. journaliste radio à Paris. Enfin arrive mon ami M. nous discutons longuement puis rejoignons maître Ali-Yahia autour d'un thé. Quelle joie de retrouver cet homme trempé, droit dans sa rectitude. El H. est ici aussi et Ahmed D. Je les quitte pour assiter à la rencontre avec Sofiane Hadjadj (Un si parfait jardin), Kaouter Khlifi (Ce que Tunis ne m'a pas dit) et Abdelkader Djemaï (Un taxi vers la mer). En fin de rencontre Sofiane me demande de lui adresser le doc... Mon ami El H. et moi déambulons à travers rues et quartiers de la ville jusqu'à Saint Lazare... Je le quitte à 21 heures. Métro ligne 13, avant dernière station. M., fatiguée, ne m'a pas attendue. Elle dort à poingts fermés. C'était hier samedi donc.
Aujourd'hui dimanche

j’ai assisté (suis arrivé à mi-séance vers 13h30) à la rencontre « des mots pour vivre » avec Anouar Benmalek (Vivre pour écrire) et Salah Guemriche (Dictionnaire des mots français d’origine arabe). Je ne suis pas d’accord avec une partie de l’intervention de Benmalek qui incrimine la société algérienne de violence et qui sans cesse dit-ilo s’interroge sur son identité. Je rétorque qu’il est naturel de se poser la question de l’identité. La question à poser n’est pas sur la quête de l’identité mais sur celle de sa falsification. La première est légitime, elle durera tant que durera la falsification. Pour l’autocensure et la violence sociétale je dis qu’elles sont encouragées par le déni de démocratie.

J’assiste à une autre rencontre « Plongée dans le monde berbère » autour de Camille Lavoste-Dujardin (La vaillance des femmes), Dalila Morsly (Collectif : Iddiqi, arts des femmes berbères) et le jeune Renaud de Sinety (Voyage en pays Chleuh). Dommage que la question berbère ait tourné essentiellement autour de la Kabylie.

Dans une autre salle se déroule une table ronde « La Cité nationale de l’histoire de l’immigration » animée par Jacques Toubon (président de la Cnhi), Driss el Yazami (Fidh et président de ‘‘Génériques’’) et Catherine Wihtol de Wenden (sociologue). Dans la même salle suit une rencontre su le thème « Mostafa Lacheraf et le système éducatif algérien » avec Daho Djerbal (Directeur de la revue de critique sociale Naqd) et Aïssa Kadri (sociologue). La rencontre a débordé jusqu’à 18 heures et plus. (Extraits plus tard)

A la suite de la rencontre nous nous sommes retrouvés dans une brasserie en face de la mairie du 13°, Kadri, Djerbal, A. Benssaad, une chercheuse Chilienne et deux ou trois autres. Notre discussion a tourné autour de la rencontre donnée par les deux premiers, puis autour de divers sujets et plus tard sur la polémique Sansal/Shoah (à aucun moment il n’a été discuté du Maghreb des livres ni même de livres ! (il est vrai que Djerbal était lui occupé à ce moment à une autre discussion, parallèle). Je me suis opposé à leurs assertions (faciles et répétées) : « pourquoi il (Sansal) généralise, il n’y a pas eu de nazis dans le Fln, la télé algérienne a passé des films sur la Shoah…) Aucun élément nouveau donc. Il est faux de dire que Sansal généralise. Il est avéré qu’il y eut des nazis dans les rangs du Fln (dont le sulfureux responsable fondateur du Fis, Mohammed Saïd, responsable des massacres de Melouza en mai 1957 (et non de la Bleuïte comme il a été dit). Je les quitte à 20 heures car mon ami El. H m’attend.




samedi, février 23, 2008

68- Suite des pérégrinations

Boualem a répondu à mon mail : il a bien été personnellement au camp d’Auschwitz en Pologne. Figurez-vous à ce propos que vendredi 15 courant il était l’invité de Ali Badou dans « Les matins de France-Culture. J’ai écouté avec beaucoup d’attention l’émission (de 7h40 à 9 heures). Durant tout le temps qu’a duré l’émission le Badou ne lui a posé aucune question, je dis bien aucune question sur la littérature, sur son écriture, la stylistique et que sais-je, rien. Pendant toute l’émission les questions (celles de Badou et plus tard de ses collaborateurs) ont porté sur la Shoah. J’ai écrit à Badou pour rouspéter. Il ne m’a pas répondu. Revenons à ma visite. Je quitte le Cyber une heure trente plus tard. Mon ami M. s’excuse. On ne peut se voir aujourd’hui. « Demain me dit-il es-tu d’accord qu’on se voit au Maghreb du livre ? Mon ami y sera, invité par maître Ali Yahia Abdennour.
Boulevard St Germain. Je vois l’obélisque de la place de la Concorde. Traversée du pont : 33 fois 3 mètres environ de parties de la rambarde de 3 m donc chacune, soit 100 m et même plus pour tout le pont. Je suis maintenant sur la place de la Concorde. Le jour décline et les gouttes au nez. Il est 17h40. Une jeune touriste asiatique me demande « Le Luvre ? » « You take this way » (Rivoli) Il me reste encore des traces solides de ma vingtaine d’années passées à Paris et notamment de l’époque où j’étais coursier, (3 ans sur un mob à délivrer des lettres à travers Paris, il y a si longtemps), meilleure des manières d’apprendre les moindres des ruelles, rues et avenues lieues et divers… Rue royale, Maxim’s et la Madeleine sur ma gauche, le bas Malesherbes où Proust a séjourné lorsqu’il était gamin. J’ai habité le boulevard mais à l’autre extrémité, c’était en 1976 ! Me voici à gare Saint Lazare. 18h35, le jour rencontrera la nuit d’un moment à l’autre. Nous sommes entre blanc et gris, entre chien et loup.
Place Clichy : Un verre dans un café, aussi bondé que tous les autres alentours. Je rejoins l’hôtel J.de P. Mon ami El-H m’y attend. Discussions, pizzas… nous faisons le tour du monde jusque tard dans la nuit. Une famille marocaine des Pays-bas nous a tenu compagnie quelques temps. Je rentre à St Denis.

Samedi 23.
Réveil en douce à 7h45. Basilique. 9h30. Il ne fait pas chaud. 10° ? Direction chatillon, changement à Champs Elysées Clémenceau, direction château de Vincennes, Bastille, puis Place d’Italie. C’est là dans la mairie du 13° que se tient le 14° Maghreb des livres. On y entre comme dans une forteresse. Vigilance et fouilles à répétition. Mon couteau suisse a posé problème, enfoui qu’il était dans le fond de mon sac à dos. J’avance, « c’est au 1° » Le Café maure est en cours d’installation. Il y a une cinquantaine de personnes. Les une se préparent, les autres visitent. Je lis attentivement le programme : deux choses me sautent aux yeux, Sansal n’est pas là, je le regrette puis Sofiane Hadjadj est là, ce que j’espérais. Je lui remettrai un doc. Je déambule dans l’unique grande salle des expositions. Il y a environ 25 à 30 stands ou tables. A midi je sors manger et écrire ceci dans un cyber. Mon ami M. a fait faut bond, Ali Yahia est pas là. A plus tard.

vendredi, février 22, 2008

67- Paris 21-25 février 2008- Salon du livre Maghrébin

Jeudi 21 février 2008Je suis arrivé à 11h30 à la gare de Lyon. Un tout aux consignes pour y faire garder ma grande et encombrante valise puis me dirige à l’université de Jussieu. En face je m’attèle à photocopier un document de 405 pages en 7 exemplaires. Cela prend beaucoup de temps. C’est éreintant de faire soi même les copies et c’est cher lorsqu’il faut ajouter les reliures les papiers cartonnés… Je fais un tour dans le quartier puis m’en vais récupérer ma valise. J’y mets les huit docs et rentre chez M. à Saint Denis. Je propose à mes amis M. et El H. de les rencontrer demain.
Vendredi 22 février 20088 h 30. Thé et compagnie. Je prépare les docs que j’empaquette dans du papier kraft, c’est moins cher que d’acheter les colis à La poste. A La poste justement, dans Saint Denis même j’expédie un colis aux eds de l’Aube. Puis me dirige dans le 8°, à Alma Marceau. Au 24 je dépose un courrier au eds Laffont. « il y a toutes vos coordonnées ? » Oui madame. Très avenante et charmante dame. Direction Saint Michel. Il est 12 h 30. Rue Saint André des Arts. Je prends un « Taouk » (je découvre). C’est un sandwich libanais fait de blanc de poulet, tomate, cornichons, ail et crème fraîche. C’est très bon. Je continue mon chemin. Je traverse dauphine, Mazarine, rue de Seine à droite puis à gauche la rue Jacob. Au numéro 27 j’allais sonner lorsque la porte s’ouvre. Une petite cour étouffée sous un immense arbre. « Ah c’est pour l’Olivier » Oui madame, et je ressors. Je reviens sur mes pas. Place Mabillon pui deux rues derrière la belle place Saint Sulpice. Mille et une rues. Une véritable souricière ce quartier, un gruyère grouillant de monde, piétons taxis vélos et autres touristes aussi pressés que les Parisiens qui bondent les lieux. Je me trompe, reviens à droite puis à gauche, enfin Mabillon place et rue. Le marché Saint Germain, il fait gris et sincèrement pas chaud, moi qui vient de la bouse du Sud. Rue Saint Sulpice et place du même nom. Je rentre au numéro 6. Non me dit le concierge (j’ai décidé que l’homme qui m’a répondu est le concierge) il ajoute « c’est pour ? » Eds Rocher. « Ressortez, la dernière porte à gauche. J’applique les consigne. Il est 13 h. J’arrive à un moment qui ne me semble pas trop indiqué. « Oui » me dit l’une des trois filles qui sortent, elle est sur le point de fermer à clé, « c’est juste… » elle prend le colis. Ni bonjour ni bonsoir ni « envoir » ni encore moins un sourire de circonstances. Rien. Tant pis. Elles sont pressées de souffler, surtout de manger. Bien moi aussi je décide de souffler quelques minutes sur le banc public posté juste devant l’entrée. Je continue mon chemin, direction Fayard. Toujours à pied. Rue Bonaparte, rue Guynemer, je longe le jardin du Luxembourg, passe devant des parcs Vélib. La moitié des vélos est louée. « Une location de 2 h = 7 € » Pas donnée le vélo. Br Raspail, rue du Montparnasse, le 13 est ouvert mais il n’y a personne à la réception des eds Fayard et C°. Je m’assois et attend un moment. Un homme passe, me répond que la réception est fermée jusqu’à 14 heures. Qu’à cela ne tienne. Je remonte la rue jusqu’au boulevard. Je prend une verre au « Brazza », une « 16 » s’il vous plaît ». Le garçon me pose le verre sans dire un mot. Pas très aimable lui non plus. Décidément. Ni bonjour, ni que voulez-vous (il a considéré qu’un hochement de menton suffisait) ni au-revoir. S’il ouvre la bouche c’est pour offrir ses mots ordinaires à la patronne (je suppose) qui tient l’espace-tabac et la caisse. Mon ami El H. m’appelle pour confirmer le rendez-vous. D’accord pour 19h30 rue d’Amsterdam à son hôtel. Je redescends la rue d Montparnasse. Au 21 se trouvent les eds Armand Colin, je passe. Cette fois le 13 est ouvert. Une belle femme est au téléphone, la cinquantaine bien entretenue, lèvres pourpres et vêtements assortis. Son visage est neutre, parfais. « Bonjour monsieur » « Heu… »« Merci monsieur, au revoir ». De quoi remettre la bonne humeur en surface. 14 h 10. Je suis libre cette fois. Mon ami M. a mis son portable sur messagerie. Rue de Vaugirard, au 48 cette plaque entre deux fenêtres fermées, face au Musée du Luxembourg qui présente une exposition « Vlaminck, un instinct fauve » : « Le compositeur J. Massenet membre de l’institut né à Montaud (Loire) le 12 mai 1848. Décédé à Paris dans cette maison le 13 août 1912 ». La 1° à gauche est la rue Servandoni et son « Hôtel Luxembourg Parc », 4 étoiles qui fait angle, au 26. Au premier étage cette plaque : « Ici a vécu à l’automne 1925 William Faulkner 1897-1962. Ecrivain américain. Prix Nobel de littérature 1949 » Devant l’entrée principale du jardin du Luxembourg je pense à ces samedis des années 1997-1998, années de l’ignominie en Algérie, je pense à ces mobilisations devant cette même entrée lorsque nous criions avec les mères de Mai Algériennes, mères de disparus forcés « Rendez-nous nos enfants ». On ne les a jamais revus emportés pour nombre d’entre eux par Les agents du DRS entre autres. Devant la bouche du RER, ou en face, une grande affiche est accrochée aux grilles du jardin : « Le Sénat s’associe à la mobilisation de l’opinion française pour obtenir la libération d’Ingrid Betancourt et de toutes les personnes retenues contre leur gré dans des circonstances analogues à travers le monde ». Une autre disparus de force, plus célèbre celle-ci, alors peut-être aura-t-elle plus de chance, peut-être. Je remonte le boulevard Saint Michel. Une plaque indique au n° 64 : « En cette maison de 1872 à sa mort » a habité Le Conte de Lisle. Un peu plus haut, je tiens à y aller, au 68 je m’arrête (n'était-ce pas au 74? je ne suis plus sûr). J’ai une pensée pour notre ami Ali Mécili assassiné ici même dans son cabinet d’avocat par l’innommable Sécurité militaire algérienne le 26 avril 1987. Je redescends le boulevard jusqu’à ce Cyber d’où je viens de relater mes journées. Celle d’aujourd’hui n’est pas finie. J’ai rendez-vous à 17 heures avec mon ami M., justement il était un des amis les plus proches de Ali. A plus tard.Il est 16 h 15.

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ALAIN ROBBE-GRILLET

Alain Robbe-Grillet

PAR Christophe Kantcheff
POLITIS jeudi 21 février 2008


Le cliché est sous toutes les plumes : le « pape » du Nouveau Roman est mort. Le pape ? Non, le diable ! Le diable, tant il fut détesté en France, sans doute à cause de l’assurance hautaine, ponctuée souvent de son rire sardonique, avec laquelle Alain Robbe-Grillet renvoyait par-dessus tête tous les poncifs, toutes les idées reçues, tous les conforts de la littérature. Robbe-Grillet, mort à 85 ans dans la nuit du 17 au 18 février, était un organisateur, un chef de meute, un combattant.

Dans les années 1950, avec l’appui de son éditeur, Jérôme Lindon, directeur des éditions de Minuit, la complicité de ses confrères nouveaux romanciers (Claude Simon, Nathalie Sarraute, Claude Ollier, Michel Butor, Robert Pinget...) et le renfort de quelques universitaires, il a déclaré la guerre aux vieilles habitudes et aux recettes rentables. Publiant des chefs-d’oeuvre, les Gommes (1953) et le Voyeur (1955), avant de jeter à la face des esprits sclérosés le manifeste théorique Pour un nouveau roman, en 1963. Robbe-Grillet a fait des livres, des films, et la révolution en littérature. Une grande figure vient de s’éteindre. CK


vendredi, février 08, 2008

66- Rendez-vous au 14° Salon du livre maghrébin - 22 et 23 Fev 2008

La 14° édition du "Maghreb du livre" se tiendra à Paris les 23 et 24 février 2008 à la mairie du 13° arrondissement (métro Place d'Italie)
Rendez-vous donc (lire in: http://www.coupdesoleil.net/agenAnnee.htm)
Extrait:

Les auteurs présents

Parmi les auteurs attendus, vous pourrez notamment retrouver: Kebir-Mustapha AMMI, Maïssa BEY, Mohamed ARKOUN, Esther BENBASSA, Azouz BEGAG, Tahar BEKRI, Bachir BEN BARKA, Djilali BENCHEIKH, Sophie BESSIS, Mehdi CHAREF, Malek CHEBEL, Annie COHEN, Abdelkader DJEMAÏ, Mireille DUTEIL, FELLAG, Colette FELLOUS, René GALLISSOT, Louis GARDEL, Bachir HADJADJ, Fatéma HAL, Mohamed KACIMI, Yasmina KHADRA, Fouad LAROUI, Alia MABROUK, Albert MEMMI, Gilbert MEYNIER, Leïla OUFKIR, Cécile OUMHANI, Mohamed SAHNOUN, Boualem SANSAL, Youcef SEDDIK, Hamid SENNI, Benjamin STORA, Catherine WIHTOL DE WENDEN, etc…
Les 4 tables-rondes

1) Actualité : le Maghreb face à la mondialisation
En cours de finalisation. Avec des économistes et des responsables ministériels maghrébins (samedi 23/02 à 18h)

2) Histoire : Les origines historiques du modernisme tunisien
Animée par le journaliste Sofiane BEN FARHAT, avec trois historiens tunisiens : Mme Nezli HAFSIA, MM. Ali MAJHOUBI et Adnen ZMIRLI (dimanche 24 à 11h15)

3) Intégration : La Cité nationale de l’histoire et de l’immigration (CNHI), conception et réalisation
Animée par la journaliste Samia MESSAOUDI, avec Jacques TOUBON, ancien ministre, président de la CNHI, Driss EL YAZAMI, président de l’association « Génériques » et Catherine WIHTOL DE WENDEN, sociologue. (dimanche 24 à 14h45)

4) Littérature : Traduire de l’arabe au français et du français à l’arabe : l’expérience tunisienne
Animée par Kamel GAHA, universitaire, avec deux « tandems » : un écrivain arabophone, Habib SELMI et son traducteur Yves GONZALEZ-QUIJANO ; un écrivain francophone, Bernard NOEL et son traducteur Ayman HACEN (dimanche 24 à 18h15)
Les 4 rencontres

1) Tunisie, un théâtre engagé
Animée par Sofiane BEN FARHAT, journaliste, avec Mohamed DRISS, comédien, dramaturge, directeur du Théâtre national tunisien (samedi 23 à 19h45)

2) Femmes cinéastes au Maghreb
Animée par Latifa LAFER, ancienne programmatrice de la cinémathèque d’Alger, avec Raja AMARI, réalisatrice algérienne, Maria KARIM, réalisatrice marocaine et Radia ZOUIOUECHE, réalisatrice tunisienne (dimanche 24 à 9h45)

3) Juifs et musulmans en Tunisie
Animée par Mohamed AL HANI, journaliste, avec Claude NATAF, président de la société d’histoire des juifs de Tunisie et Abdelhamid LARGUECHE, historien (dimanche 24 à 13h15)

4) Mostefa LACHERAF et le système éducatif algérien
Avec Daho DJERBAL, historien, directeur de la revue Naqd et Aïssa KADRI, sociologue (dimanche 24 à 16h45)
Les 10 cafés littéraires
(réunissant 3 auteurs ayant écrit sur un thème voisin,
animation par Pascal JOURDANA)

Sont déjà arrêtés trois cafés littéraires importants :

- le 1er consacré aux « Chroniques de Tunisie », reflet de la résidence d’écriture offerte par l’IFC en 2006, à 5 écrivains de langue française, dont 3 au moins seront présents : Olympia ALBERTI, Moncef GHACHEM et Mohamed KACIMI

- le 2ème consacré à l’écrivain algérien Jamel-Eddine BENCHEIKH (à l’occasion de la sortie du livre collectif qui lui rend hommage)

- l’autre à l’Emir Abdelkader (à l’occasion du bicentenaire de sa naissance)

Les sept autres sont en cours en construction.
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