Kamel Daoud, lauréat du Prix Mohammed Dib
par Khaled Boumediene (Le Quotidien d'Oran dimanche 11 mai 2008)
Le Prix littéraire Mohammed Dib, une distinction qui récompense les jeunes écrivains algériens, est allé, cette année et pour sa troisième édition, à l'écrivain et journaliste Kamel Daoud pour son recueil intitulé «L'Arabe et le vaste pays de ô...».
Lors de la remise de ce trophée, hier à l'auditorium de la Faculté de médecine «Docteur Benzerdjeb» de Tlemcen, la présidente de l'Association culturelle «la Grande Maison» a tenu à préciser, que «pour la 3ème session du Prix Mohammed Dib, décerné par la Fondation Dib, nous avons eu la joie de voir concourir un certain nombre de textes de bonne tenue, voire de très bonne tenue. Les jurés ont pu sélectionner quatre recueils de qualité. Il s'agit des textes : «L'Arabe et le vaste pays de ô» de Kamel Daoud, «Grenade» de Yamile Ghebalou Haraoui, le «Chuchotement des anges» de Kaouther Adimi, «Grains de folie» de Mohammed Houat.
Parmi ces recueils, celui intitulé «L'Arabe et le vaste pays de ô...» a suscité l'enthousiasme général et même une sincère admiration. Texte original et fort qui opère une passionnante alchimie où l'esprit d'analyse et un captivant travail métaphonique sont servis par une subite touche ironique, le tout pour traiter, avec pertinence et jubilation, du sujet épineux «qu'est-ce qu'être arabe aujourd'hui ?». Et d'ajouter : «nous avons affaire à un écrivain qui saura s'affirmer dans le monde littéraire».
Lors de la remise de ce trophée, hier à l'auditorium de la Faculté de médecine «Docteur Benzerdjeb» de Tlemcen, la présidente de l'Association culturelle «la Grande Maison» a tenu à préciser, que «pour la 3ème session du Prix Mohammed Dib, décerné par la Fondation Dib, nous avons eu la joie de voir concourir un certain nombre de textes de bonne tenue, voire de très bonne tenue. Les jurés ont pu sélectionner quatre recueils de qualité. Il s'agit des textes : «L'Arabe et le vaste pays de ô» de Kamel Daoud, «Grenade» de Yamile Ghebalou Haraoui, le «Chuchotement des anges» de Kaouther Adimi, «Grains de folie» de Mohammed Houat.
Parmi ces recueils, celui intitulé «L'Arabe et le vaste pays de ô...» a suscité l'enthousiasme général et même une sincère admiration. Texte original et fort qui opère une passionnante alchimie où l'esprit d'analyse et un captivant travail métaphonique sont servis par une subite touche ironique, le tout pour traiter, avec pertinence et jubilation, du sujet épineux «qu'est-ce qu'être arabe aujourd'hui ?». Et d'ajouter : «nous avons affaire à un écrivain qui saura s'affirmer dans le monde littéraire».
NB: Quant à "A J" Barzakh n'a pas jugé utile de le retenir.
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